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Le jobbing, c'est le fait de se rendre des petits services entre particuliers.

Si le jobbing décolle, c'est à cause de la crise. Des gens au chômage qui cherchent à gagner un peu de sous. D'autres au budget serré qui veulent payer le moins possible.  Parmi les sites de jobbing : Youpijob, et d'autres plateformes comme jemepropose, IFastAsk, Frizbiz ou encore petitsjobs.fr. Chez Youpijob ( Le site web Youpijob fait peau neuve et a changé de nom et d'URL pour devenir Yoojo : https://yoojo.fr), on prélève 15% du salaire de celui qui effectue la prestation. D'autres sont totalement gratuits, comme petitsjobs. Et puis il y a bien sûr les poids lourds de l'internet entre particuliers, comme Le Bon Coin ou Vivastreet, qui s'y mettent aussi.  Sur certains sites on peut payer via Paypal. Sinon, le mieux est encore le Chèque emploi service, le CESU. Non seulement vous serez en règle, mais vous pourrez bénéficier d'une réduction d'impôt équivalent à 50% de ce que vous payez.
Pour vous procurer des CESU, il suffit d'aller sur le site de l'Urssaf et de les commander en ligne. Et le fait que votre "employé", même temporaire, accepte les chèques emploi service est aussi rassurant pour vous.

Magasin de déstockage image, son et électroménager - Demarq-online

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Envie Trappes - L'Electroménager Rénové Garanti

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L'Electroménager Rénové Garanti. ... Rechercher : Envie Trappes. Envie lutte contre l'exclusion en aidant des salariés en insertion à retrouver un emploi stable.

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Vous avez déjà entendu parler des instituts de sondages comme Ipsos, Elabe, Odoxa, Ifop, Sofres ou Harris Interactive? Tous ces instituts de sondages sont fréquemment cités dans les Journaux Télévisés. Sur le net, des dizaines de sites vous demandent vos avis et fonctionnent de la même manière. Ce sont des sites de sondages rémunérés. En répondant à une série de questions, il est possible de se faire un complément de revenus tous les mois. Vous voulez en savoir plus? Ça tombe bien! Je vous explique tout dans cet article. Dans quelques minutes, vous pourrez commencer!

Qu’est-ce qu’un sondage rémunéré?

Pour faire simple, une enquête rémunérée consiste à répondre à plusieurs questions en contrepartie d’une récompense. Rien de bien compliqué.

Ces sondages sur internet ont pour but de recueillir les avis et témoignages des internautes  notamment pour de grandes marques. Que ce soit pour le lancement d’un nouveau produit, pour une campagne publicitaire ou pour connaître les réactions des consommateurs, de grandes marques comme Conforama, Ikea, Amazon, Coca-Cola, Renault et tant d’autres font appel à ces sites de sondages.

En jouant le jeu et en répondant à ces questionnaires vous aurez donc droit à des récompenses comme des bons d’achats ou tout simplement de l’argent qui sera viré sur votre compte bancaire. Comme vous l’avez compris, le concept est intéressant mais je vous avertis tout de suite: vous ne serez pas riche avec cette activité. Non, vous allez simplement arrondir vos fins de mois en vous amusant.

Quelques précautions:

Les sites de sondages rémunérés présents sur internet sont très nombreux. Je dirai même qu’il en existe plusieurs centaines. Alors pour ne pas perdre votre temps avec des sites foireux, je vous donne quelques astuces pour éviter les arnaques.

Tout d’abord, les inscriptions sont GRATUITES. Si on vous demande de payer quoi que ce soit pour commencer, ce sera une ARNAQUE à 100%. Sur les meilleurs sites, vous n’aurez jamais rien à payer et on ne vous demandera jamais vos numéros de CB. Méfiez-vous si on vous propose de gros gains. Tous les sites vous proposant plusieurs dizaines d’euros par sondage seront très probablement frauduleux. Ne vous laissez pas avoir par l’appât du gain. Mieux vaut gagner de petites sommes régulièrement.

Problèmes et arnaques souvent rencontrés:

S’il existe des centaines de sites différents, il existe autant de problèmes rencontrés par les utilisateurs de sites non recommandés.

De nombreux internautes n’ont jamais eu leurs gains validés malgré des enquêtes correctement remplies. C’est le cas le plus fréquent. Pour d’autres, le compte a été tout simplement fermé sans que l’équipe du site ne fournisse la moindre explication. Enfin, sachez que certains sites ne vous enverront aucun sondage. Vous voyez, il y en a des escroqueries et il est difficile de s’y retrouver mais si vous vous inscrivez sur les sites dont je parle ci-dessous, vous n’aurez pas le moindre souci! C’est promis!

Quelques conseils:

Je vous conseille de vous inscrire sur l’ensemble des sites dont je fais la liste un peu plus bas pour maximiser vos gains. Il n’y a qu’une dizaines de sites c’est vrai mais ce sont les plus fiables et vous serez payé. Après, rien ne vous empêche d’aller voir ailleurs mais renseignez-vous sur la fiabilité pour ne pas perdre votre temps. Je vous suggère de travailler régulièrement. Le mieux est de répondre aux enquêtes tous les jours pour ne pas être débordé. Prenez les sondages comme un job à part entière et vous verrez vos cagnottes grossir. Enfin, soyez honnête en remplissant correctement votre profil (nom, âge, adresse, situation familiale, job exercé…) et en répondant consciencieusement!

Néanmoins, sachez que tous les internautes ne sont pas égaux! Je m’explique: selon votre profil vous recevrez plus ou moins de sondages et vous serez plus ou moins payé. Une personne qui aura un profil du type salarié avec un pouvoir d’achat moyen sera moins intéressant pour les instituts qu’un cadre dans une grande entreprise avec un fort pouvoir d’achat.

Libre à vous de mentir sur votre profil et de répondre n’importe quoi mais vous risquez de vous faire exclure si vous êtes démasqué. Encore une fois, mieux vaut être prudent et sérieux mais après tout, c’est vous qui décidez!

Combien ça rapporte?

Parfois les sondages ne comprendront que 5 questions, parfois bien plus et vous demanderont plus de temps. Vous comprendrez donc qu’ils ne rapportent pas tous autant. Généralement, la fourchette de rémunération est comprise entre 0,30 euro et 5 euros pour un temps de travail de 15 minutes environ. Vous verrez que souvent c’est proche d’un euro. En travaillant une heure par jour, vous gagnerez entre 150 et 250 euros par mois et plus encore si vous faites du parrainage. Il est même possible de gagner plus d’argent avec le parrainage qu’en répondant aux questions.

Assez parlé, je vous donne maintenant la liste que vous attendez tous: celles des sites 100% fiables et 100% efficaces.

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LES MEILLEURS SITES DE SONDAGES RÉMUNÉRÉS

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YOUGOV

YouGov est un excellent site complètement fiable qui existe depuis une quinzaine d’année. Avec YouGov, vous allez être payé pour répondre mais aussi pour parrainer puisque chaque filleul vous rapportera 1 euro dès lors qu’il aura répondu à 5 questionnaires. Avec YouGov, vous pouvez recevoir de l’argent mais surtout des tickets Kadeos (25 euros ou 50 euros). C’est l’un des sites que je préfère et qui me rapporte le plus grâce au parrainage. Pour vous inscrire: Inscription YouGov.

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MARKET AGENT

Market Agent est l’un des sites de cette liste que je préfère puisqu’il est simple à utiliser et aussi car le seuil de paiement est à 2 euros seulement. Sachez que les gains sont versés en 24 heures. Vous pouvez ainsi avoir des paiements réguliers. En plus, à votre inscription vous aurez automatiquement 1,50 euros crédités sur votre compte sans rien faire. Vous pouvez faire du parrainage en plus si vous le souhaitez. Chaque filleul que vous aurez recruté vous fera gagner 1 euro de plus. Avec les sondages et les enquêtes, il est possible d’encaisser plusieurs dizaines d’euros par mois. Pour vous inscrire: Inscription Market Agent.

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SONDAGES RÉMUNÉRÉS

Comme son nom l’indique, ce site est spécialisé dans les enquêtes en ligne depuis bon nombre d’années. Ce qu’il a de plus par rapport aux autres, c’est qu’il offre la possibilité à ses membres de tester des produits, d’être client mystère (visiter des magasins et effectuer des petites missions) et de recevoir des cadeaux. Les hommes et femmes âgés de plus de 16 ans pourront participer aux enquêtes.  Pour vous inscrire: Inscription Sondages Rémunérés.

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GADDIN

Ce site est plus complet car vous pouvez gagner de l’argent en répondant aux sondages mais aussi en lisant des mails, en visitant des sites partenaires, en achetant sur le net et en parrainant. Ce GPT (Get Paid To) est très apprécié puisque le parrainage est récompensé à hauteur de 1 euro par filleul. Lorsque votre cagnotte dépasse les 20 euros vous pouvez être payé par virement bancaire, PayPal ou en bons cadeaux. Attention car il n’est possible de s’inscrire que depuis la France, la Suisse et la Belgique uniquement. Pour vous inscrire: Inscription Gaddin.

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MON OPINION COMPTE

Sur Mon Opinion Compte, les sondages rémunérés rapportent un peu moins d’argent (0,75 à 1 euro en moyenne) mais ce qu’il y a de bien c’est que le seuil de paiement est très bas à 2,50 euros. Vous pouvez ainsi avoir plusieurs paiements dans le mois. Mais faites bien attention en remplissant votre profil. Celui-ci doit être renseigné au maximum sinon vous ne recevrez pas tous les questionnaires ce qui serait dommage. Il n’est pas rare de recevoir plusieurs sondages quotidiens! Vous pouvez demander des bons d’achats sur Amazon si vous le souhaitez. Sachez enfin que les paiements sont envoyés via PayPal en 24 heures. Pour vous inscrire: Inscription Mon Opinion Compte.

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I-SAY

I-Say est également une référence avec 98% des utilisateurs satisfaits. Ipsos I-Say est présent sur la toile depuis une dizaine d’années et propose un autre système de rémunération. Ce sont des bons cadeaux qui sont envoyés aux membres. Quand vous répondez aux sondages rémunérés vous avez des points que vous échangerez contre ces bons cadeaux. Noter qu’il faut franchir le seuil de 10 euros pour demander ses bons. Ipsos I-Say met en place un système de parrainage intéressant puisque chacun de vos filleuls vous fera gagner 1 euro lorsqu’il aura rempli son 1er questionnaire. Pour vous inscrire: Inscription I-Say.

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GREENPANTHERA

Présent dans de nombreux pays, ce site a fait ses preuves et mérite la 1ère place. Vous pouvez recevoir les sondages par mail ou les faire directement sur le site. GreenPanthera vous offre 4 euros dès que vous êtes inscrit. Bien évidemment, ce site est gratuit et paye ses membres par PayPal ou virement bancaire. Vous avez la possibilité de faire du parrainage. A chaque fois que vous aurez un nouveau filleul, vous toucherez 10% de ses gains à vie. Pour vous inscrire: Inscription GreenPanthera.

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MY SURVEY

My-Survey désormais LifePoints existe aussi depuis une bonne dizaine d’années et vous en avez certainement déjà entendu parlé en bien. Là encore, les sondages terminés vous rapportent des points que vous pouvez convertir en bons cadeaux et en cash. Vous serez payé dès que vous aurez dépassé le seuil de paiement fixé à 10 euros. Si vous voulez de l’argent, vous aurez un paiement Paypal. Sachez que 95% des utilisateurs sont satisfaits de My-Survey même si la fréquence d’envoi est aléatoire. Pour vous inscrire: Inscription My-Survey.

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GLOBAL TEST MARKET

Global Test Market désormais LifePoints est un site international présent dans 200 pays et travaillant avec les plus grandes marques au monde (Coca-Cola, Apple, Airbnb…). Déjà plus de 7 millions d’utilisateurs à travers le monde se connectent régulièrement pour de jolis gains. Chaque questionnaire vous rapportera en moyenne 1,50 euros. Le seuil de paiement est fixé à 5 euros. Vous serez payé par PayPal mais vous pouvez aussi avoir des bons cadeaux et aussi des cadeaux à commander directement sur Global Test Market. Plus que jamais, je vous recommande enfin de remplir correctement votre profil sous peine d’exclusion. Pour vous inscrire: Inscription Global Test Market.

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TOLUNA

Lancé en 2000 et présent dans de nombreux pays, Toluna est un mastodonte à plus d’un titre. Fort de plusieurs centaines de milliers d’inscrits, Toluna propose des tests de produits que vous évaluerez ensuite. Votre compte sera crédité en points à convertir en argent ou en cadeaux chez Intersport, Adidas, Auchan, Zalando, Decathlon ou encore Ikea et Leclerc. 99% des internautes recommandent Toluna pour son sérieux. En ce qui me concerne, je gagne 30 euros par mois mais je n’y consacre pas trop de temps. Seules les personnes âgées de plus de 16 ans peuvent participer. Pour vous inscrire: Inscription Toluna.

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NICEQUEST

Si vous voulez recevoir des cadeaux en tous genres, NiceQuest est un site que je vous recommande. Ici donc vous n’aurez ni argent ni bons cadeaux mais uniquement divers cadeaux comme des téléphones, du parfum, du maquillage et bien d’autres choses. NiceQuest vous envoie les sondages directement par mail ou sur l’application mobile. Ce site est récent et prometteur et les premiers utilisateurs semblent ravis. A noter qu’il faut avoir au moins 18 ans pour participer. Pour vous inscrire: Inscription NiceQuest.

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VOTRE OPINION

Site ancien puisqu’il a plus de 10 ans, Votre Opinion est aussi un site que je vous recommande pour sa fiabilité. Avec Votre Opinion, vous n’aurez pas d’argent mais des bons cadeaux. Vous devrez avoir au moins 20 euros en cagnotte pour demander un bon d’achat. A noter que seuls les habitants de France pourront participer aux enquêtes. Malheureusement, il n’est pas possible de parrainer sur ce site. Pour faire du parrainage, choisissez un autre site. Sinon, comptez en moyenne 10 à 15€ par mois si vous êtes relativement actif. Pour vous inscrire: Inscription Votre Opinion.

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MOBROG 

Mobrog est un site ancien et pas très révolutionnaire c’est vrai mais il fait partie des références. Ce site international rémunère jusqu’à 3€ pour chaque enquête d’opinion terminée. Généralement Mobrog vous enverra 2 sondages rémunérés par semaine en moyenne et vous versera donc une vingtaine d’euros mensuels dans le meilleur des cas. Malheureusement, aucun programme de parrainage n’est disponible. Pour les paiements, vous pouvoir choisir PayPal ou Skrill. Sachez que les paiements sont reçus instantanément. Pour vous inscrire: Inscription Mobrog.

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PANÉLIA

Proposant des campagnes de manière plus ou moins régulière, Panélia est un site qui récompense le mieux ses panélistes. Ce n’est pas sans raison si Panélia obtient la note de 4,5/5 sur le site NetBusinessRating. Près de 90% des membres en sont satisfaits tant pour la rémunération que pour le sérieux des paiements. Je conseille vivement de remplir les sondages sérieusement car si vous bâclez, Panélia n’hésitera pas à clôturer votre compte. La moindre des choses, c’est de faire ce qu’on vous demande. Pour vous inscrire: Inscription Panélia.

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MINGLE

Mingle intègre ce classement après des tests positifs. Mingle est un site ordinaire ouvert aux habitants de France, de Belgique, de Suisse, d’Espagne et d’Allemagne. Tous les autres pays ne seront pas accepté. Mingle est fiable même si l’envoi des enquêtes est plus qu’aléatoire. C’est son unique point faible. Dès le seuil de paiement de 15€ franchi, vous encaisserez votre argent par virement bancaire et avez même la possibilité de faire un don ou de recevoir des bons d’achat. Pour vous inscrire: Inscription Mingle.

Vous l’avez donc compris, les sondages rémunérées restent une bonne solution pour gagner de l’argent sur internet à condition de s’inscrire sur les meilleurs sites. Des gains supérieurs à 150 euros par mois sont facilement réalisables pour les internautes travaillant de manière assidue et régulière. Cette liste des meilleurs sites sera mise à jour si de nouvelles opportunités se présentent.

Sachez enfin qu’il n’y a pas que les sondages rémunérés pour gagner de l’argent sur le net! Je vous invite à lire le guide des meilleurs sites rémunérateurs ou celui des applications rémunératrices les plus efficaces que j’ai récemment publié.

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LA STARTUP TROCCAURIS VA-T-ELLE RÉVOLUTIONNER LE TROC AVEC UN COQUILLAGE ?

 Le cauris, ce coquillage qui sert encore de monnaie d’échange dans le monde, va-t-il révolutionner le troc en France ? A Grenoble, trois jeunes entrepreneurs ont eu l’idée de créer une plate-forme d’échanges d’objets couplée à une monnaie virtuelle. 

Vendre sur le net, tout le monde connaît. Échanger sur le net ? La pratique a ses adeptes mais aussi ses limites. Leurs études tout juste terminées, trois étudiants grenoblois testent depuis trois mois une autre forme de troc, couplée à une monnaie virtuelle, le cauris, ce coquillage qui sert encore de monnaie d’échange dans plusieurs pays du monde.

Ils en ont tiré le nom de leur startup, incubée à Grenoble école de management : Troccauris. Sur leur plate-forme d’échanges, une grosse centaine de biens sont candidats au troc. On y trouve à peu près de tout : meubles, assiettes, télévisions, vélos… qui s’échangent ou se monnaient en cauris.   Jérôme Guilmain et Audrey Bouvier, fondateurs de Troccauris, plate-forme web d’échanges d’objets.  « Le simple troc est assez limité en raison de la différence de valeurs entre objets, explique Audrey Bouvier. Le principe de Troccauris est d’échanger à plusieurs et de compenser la différence de valeur ».  Ainsi, si deux biens n’ont pas la même valeur, le propriétaire du bien le plus “important” recevra, en complément, des cauris qui lui permettront d’acquérir, par la suite, un autre objet sur le site.

Bientôt une seconde version du site

Lauréat en 2014 du prix Pepite, concours national dédié aux étudiants-entrepreneurs, Troccauris se développe doucement. Une dizaine d’échanges ont ainsi déjà eu lieu. Et la petite équipe, à la faveur d’une campagne de financement participatif sur KissKissBankBank qui a permis de réunir 4.000 euros, travaille d’ores et déjà sur la seconde version du site.  « On a atteint le premier pallier. Notre objectif serait aujourd’hui de collecter 10.000 euros », continue Audrey Bouvier. Pour mieux accompagner l’internaute, améliorer le design mais aussi proposer la livraison, voire intégrer des comptes « Premium ». Deux nouveaux services qui permettraient à la petite équipe, qui ne prélève pas de commission sur les ventes, de se rémunérer.

UN EXEMPLE DE « FRUGALITÉ »

Le site communautaire s'appuie sur une monnaie virtuelle, le cauris, du nom du coquillage qui sert encore de monnaie d'échange dans quelques régions du monde. Le principe de Troccauris est d'échanger des biens et de compenser leur différence de valeur par des cauris. Ainsi, le propriétaire du bien, dont la valeur est la plus élevée, recevra en complément des cauris, lui permettant d'acquérir d'autres biens sur le site. Troccauris ne prélève pas de commission sur les ventes, mais fonde son développement sur un modèle de rémunération C to C. Notamment, la vente de cauris aux particuliers (1€ = 10 cauris), pour fluidifier les échanges locaux (80 % des trocs). Mais aussi, la création d'un compte « premium », pour les particuliers, qui permet d'accéder à des offres ciblées, en avant-première. Sans compter un service de livraison d'objets en « troc points » dans des cafés partenaires locaux (une centaine à Grenoble ; 150 à Paris), qui favorise les échanges communautaires, autres que virtuels.

Autre cible, les entreprises. Une page, au sein du site collaboratif, permet d'accueillir les annonces des collaborateurs, moyennant un abonnement annuel par salarié, financé par l'employeur (5 à 10 € selon le nombre d'adhésions). Les premiers tests sont concluants. Ces modèles B to B et C to C payants permettront à terme de rentabiliser l'activité.

DES AMBITIONS

Troccauris.com compte plus de 7 000 inscrits actifs, ce qui représente plus de 20 trocs par semaine. La startup est actuellement en phase de levée de fonds avec un objectif de 600 k€. Après un premier déploiement en 2015, dans la région grenobloise, la start-up est présente depuis mars 2016 à Paris. Dans les prochains mois, Troccauris prévoit d'élargir son service dans une douzaine de grandes villes en France. Objectif : atteindre 30 000 membres d'ici la fin 2017 et 90 000, un an plus tard. Son CA prévisionnel en 2017 devrait atteindre 400 K€ avec 10 collaborateurs.

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Source : article La startup Troccauris va-t-elle révolutionner le troc avec un coquillage ? | Place Gre'net - Place Gre'net

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Trouver la meilleure offre pour votre trajet - Le Même en Mieux

www.lmem.net/trajet

Billet d'occasion, bus, covoiturage : Le Même en Mieux vous trouve automatiquement des trajets moins chers au moment où vous réservez un billet de train.

Créé à Bordeaux, le site Internet « Le même en mieux » propose automatiquement des alternatives à ceux qui recherchent un hôtel, un livre ou encore un billet de train.

« Je suis convaincu que si les gens ne font pas davantage de choix éthiques en tant que consommateur, c’est avant tout parce qu’ils ne savent pas où trouver ces offres et n’ont pas les outils pour les comparer aux produits classiques. » Partant de cette conviction et de son désir de mêler économie et social, Maarten Samson a lancé début 2015 « Le même en mieux », qui se veut la « première vitrine en France » des alternatives aux géants de l’e-commerce.

Une extension du navigateur Internet

Pour l’utiliser, c’est simple, il faut télécharger sur le site un « compagnon Web », qui fonctionne comme une extension du navigateur Internet. Un système qui lui permet de détecter dès que vous êtes sur un site marchand et de vous proposer en temps réel des alternatives sur toute la France.

> LIRE AUSSI : Voyager autrement grâce à Internet

Ainsi, le consommateur peut espérer obtenir gagner 75 % sur le montant d’un trajet en train, en optant pour un billet d’occasion ou le covoiturage. Le « compagnon Web » est également en mesure de dénicher des nuits à l’hôtel à un tarif inférieur de 10 %. Comment ? « Nous accédons directement à l’hôtelier sans passer par un intermédiaire », précise Maarten Samson. Et, pour garantir son indépendance dans le choix des alternatives proposées, le site n’accepte aucune publicité.

« Surtout, c’est un moyen pour nous d’aider ces commerçants à retrouver de l’indépendance vis-à-vis des grandes centrales de réservation », avance-t-il. Dans le même esprit, « Le même en mieux » suggère au consommateur d’acheter un livre chez le libraire le plus proche de son domicile plutôt que chez Amazon, au même prix, via la plate-forme Placedeslibraires.fr. « Notre ambition est de contribuer à maintenir et créer des emplois au niveau local dans des commerces”responsables” », insiste-t-il.

> LIRE SUR LE BLOG : Les intermédiaires du tourisme en ligne : un hold-up ?

Comment monétiser l’application ?

À ce jour, « Le même en mieux » compte 2 000 utilisateurs actifs chaque semaine et vise les 10 000 d’ici à fin 2016. Tout l’enjeu désormais pour cette start-up est de monétiser l’application, afin d’accroître sensiblement son maillage territorial et de faire connaître au grand public un maximum d’alternatives.

Actuellement, « nous nous rémunérons en prenant une commission sur chaque client gagné par ces partenaires (BlaBlaCar, Le Guichet, Accor…) grâce à notre intermédiaire », explique Maarten Samson. Mais cela ne suffira pas pour atteindre une envergure nationale. Cette jeune pousse se prépare donc à lancer en septembre une deuxième levée de fonds de l’ordre de 400 000 euros. « Mais nous avons déjà réussi à lever 220 000 euros », rappelle-t-il, confiant.

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Billets d'avion: Quelles sont les astuces pour décrocher le meilleur prix ?

C’est le moment de préparer vos vacances d’été. Les prix des billets d’avion faisant le yoyo, des conseils de spécialistes qui vous permettront de faire le moins de mal possible à votre porte-monnaie.

Quand faut-il s’y prendre ?

Selon une étude du comparateur de vols Algofly publiée le 12 avril, chaque billet voit en moyenne son tarif subir pas moins de 250 ajustements entre le moment où le vol est mis en vente et celui où il finit par être acheté. Le prix d’un même billet peut ainsi aller du simple au quintuple, selon le moment d’achat. « Le marché aérien fonctionne selon la loi de l’offre et de la demande. Plus l’avion se remplit, plus les prix montent (on appelle ça le yield management). Il faut donc réserver tôt, idéalement six mois à l’avance lorsqu’on veut partir en période de vacances scolaires », conseille Justine Massera, juriste nouvelles technologies à l’ UFC que Choisir. Si vous voyagez sur une ligne low-cost, n’espérez pas que les prix chutent pour les départs en période de pointe.

Si vous voyagez hors période de vacances scolaires, l’idéal est de vous y prendre entre un et deux mois avant le départ. Lorsque les vols ne sont pas pleins, les compagnies et les voyagistes bradent les billets quelques jours avant la date de départ. « Mais ces dernières minutes sont plutôt rares. On peut prendre le risque d’attendre si on part hors période de vacances scolaires pour une destination peu demandée, mais avec le risque au final de ne pas trouver de place », souligne John-Lee Saez, directeur France, Espagne et Autriche du comparateur de vols Kayak.

Quels sites privilégier ?

Tous mon capitaine. Il faut naviguer à la fois sur ceux des compagnies, des comparateursde prix et des voyagistes. Certains comparateurs proposent des prévisions de prix sur les sept prochains jours, ce qui vous permet de vous faire une idée sur la tendance. « Une fois que vous avez une idée du bon prix, il faut vous en créer des alertes mail. En cas de baisse des prix, vous serez tout de suite averti », recommande Didier Arino, directeur du cabinet Protourisme. Si vous achetez un vol long-courrier pour lequel vous avez le risque de devoir changer la date, « réservez plutôt auprès d’une compagnie aérienne ou d’uneagence de voyages. Cela sera plus facile de changer de billet en limitant les frais », conseille-t-il.

Y a-t-il des jours où les vols sont moins chers ?

Etre flexible sur la date de départ est le meilleur moyen de faire des bonnes affaires. « Les professionnels partant généralement en début de semaine et les vacanciers le vendredi ou samedi, les prix sont plus attractifs pour des départs le mercredi et le jeudi », constate Didier Arino. De son côté, le site Ebookers estime que le mardi et le mercredi sont les meilleurs jours pour voler. 

Sur quels autres éléments faut-il aussi se montrer flexible ?

Pour les vols longs courriers « les vols avec escales sont souvent ceux qui proposent les tarifs les plus intéressants », note Didier Arino. « Il ne faut pas hésiter non plus à emprunter un aéroport un peu plus loin de son domicile. En partant de Genève plutôt que de Lyon ou de Beauvais plutôt que d’Orly », ajoute John-Lee Saez. Il faut bien évidemment prendre en compte dans ce cas-là le prix du parking si l’on laisse son véhicule sur place le temps du voyage et le coût du déplacement domicile-aéroport pour évaluer si vous êtes vraiment gagnant au final. « Parfois, il peut être aussi intéressant de combiner deux allers simples qu’un aller et retour », poursuit John-Lee Saez.

Quel est le meilleur moment de la semaine pour réserver ?

« Les pics de recherches de vol sur Internet sont enregistrés le lundi et le mardi, aux heures de bureau, ce qui peut influer sur les prix à la hausse », observe John-Lee Saez. Selon lui, mieux vaut donc réserver son vol le mercredi, le jeudi ou le vendredi. Selon une étude menée par Ebookers,  le meilleur moment pour avoir les meilleurs prix est entre 21 et 22h. Si vous souhaitez le faire sur le site d’un voyagiste, renseignez-vous en amont s’il propose une exonération de frais de dossier pendant la nuit. « Certains le font pour les réservations enregistrées entre 2 h et 5h du matin », indique Justine Massera.

Souvent, la réservation d’un billet d’avion réserve de mauvaises surprises. Juste avant d’effectuer le paiement, des frais apparaissent et peuvent sensiblement alourdir la facture. Des tarifs différents selon le type de carte bancaire utilisée. Selon Le Parisien, pour le même billet chez eDreams, le détenteur d’une carte American Express devra débourser 35 % de plus que le titulaire d’une carte Visa ou Mastercard. L’écart atteint même 45 % par rapport aux utilisateurs d’une carte Viabuy Mastercard. « Comme par hasard, aux cartes les plus répandues correspondent les prix les plus chers », résume Justine Massera. Pour éviter les mauvaises surprises au dernier moment, l’idéal est de consulter un comparateur de prix qui intègre dans son calcul de prix la carte utilisée.

Comment éviter d’être traqué sur le web par des opérateurs peu scrupuleux ?

On l’a tous vécu. On consulte le site d’un voyagiste et bizarrement quand on y revient quelques minutes plus tard, le prix du billet a augmenté. Bien que cela ne soit pas formellement prouvé, certains opérateurs utiliseraient le système d’IP tracking pour orienter le consommateur vers des offres plus chères. « Dans le doute, une seule solution, effacer les cookies », explique John-Lee Saez. Autre variante : ne pas utiliser le même ordinateur pour la recherche de billet et pour sa réservation !

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Loisirs Enchères : bons plans et promos Loisirs Enchères - Loisirs Enchères, séjours et loisirs aux enchères à partir de 1€

Loisirs Enchères vous propose, comme son nom l'indique, des ventes aux enchères sur des offres de loisirs, des activités et des week-ends partout en France.

https://www.loisirsencheres.com/

Des centaines d'offres de voyages, d'hôtels, de week-end et de sorties aux enchères. Fixez gratuitement le prix de vos spectacles ou de vos séjours.

Astuce : miser dans les dernières secondes et miser soit le vendredi soir ou le samedi.

L’idée : 

Nous sommes une jeune start-up française dont le concept unique en France est de mettre aux enchères des loisirs et des séjours de qualité, toujours à partir de 1€ (voyages, hôtels de charmes, restaurants gastronomiques, sauts en parachute, dégustations de vin, billetterie culturelle, parcs d’attraction, etc).

Le fonctionnement :

 Les gens s’inscrivent gratuitement sur Loisirs Enchères, enchérissent gratuitement également sur une enchère qui leur plaît. Une fois le temps écoulé, l’enchère revient au plus offrant. 

Pourquoi cette idée pourrait marcherait (pourquoi cette start-up réussit):

La communication promotionnelle est en crise avec sa généralisation et la saturation d’internet par les prix barrés, les ventes privées, les pastilles de réduction (les soldes de juin on fait 20% de moins que l’année dernière). Aussi un nouveau modèle de circuit promotionnel, de Yield management est à inventer, plus qualitatif et plus en accord avec la loi de l’offre et de la demande : les enchères. La compagnie Iberia vient d’ailleurs en juin de mettre en vente 20% de ses sièges aux enchères – 100k utilisateurs de leur plateforme en 24h. Ce mode de consommation de loisirs et de voyages a de plus déjà séduit et est rentré dans les mœurs de nos voisins espagnols et hollandais, et nous avons voulu l’implanter en France. L’idée est que les gens se fassent plaisir en s’offrant des loisirs et des voyages au prix qu’ils auront choisi. 

Originalité :

Ce sont les internautes eux mêmes qui décident du prix auquel ils sont prêts à remporter l’enchère, sachant que toutes les enchères démarrent à 1 euro, et sont disponibles dans un temps défini.  

Votre business model (Comment gagnez-vous de l’argent?) :

Lorsque une enchère est remportée, Loisirs Enchères se rémunère sur les frais fixes par enchère.

Région / Pays cible :

Nos bureaux sont basés à Bordeaux et Paris. Nos offres s’étendent sur la France ainsi qu’à l’étranger. Notre cible prioritaire à ce stade de développement est la zone francophone européenne.  

Qui sont vos concurrents :

Actuellement, nous sommes les seuls en France à développer ce concept.

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Il s’agit des sites de vide dressing. Le principe est presque toujours le même : vous créez d’abord un profil sur le site qui vous intéresse, prenez en photo le ou les vêtements que vous souhaitez vendre, et vous mettez l’article en vente. Certains des sites proposés vous prendront des commissions, d’autres se chargeront de la livraison du paquet ; et d’autres encore sont plutôt destinés à une clientèle de luxe.

Dressthings : un autre nom anglais pour un autre site au design attrayant. Ici, vous pouvez géolocaliser vos annonces, ce qui facilite les transactions de proximité. Ce site vous encourage à renouveler votre garde-robe (donc, d’abord vendre votre surplus pour ensuite y acheter de nouveaux habits)

U Got A Wish : sous ce nom anglais se cache un site léché, avec un chouette design et qui vous permet de vendre sans aucune commission. Zéro. Plutôt destiné aux vêtements de tous les jours (pour femmes et enfants), ici vous ne trouverez pas de luxe.

Bébé vend ses fringues : Permet de vendre les affaires du petit, et d’autres trucs de bébé (poussette, vélo, équipement médical, jouets…). Totalement gratuit, sans commission. Interface plutôt enfantine.

Vestiaire Collective : Clairement destiné à la vente de vêtements de marque et/ou de luxe. Destiné aussi bien aux hommes, femmes et enfants (pas forcément le cas des autres sites). Les photos semblent professionnelles. Le site offre des rubriques pour vous aider à mettre en valeur vos habits et fixer le prix juste. Commissions assez élevées. Allez faire un tour aussi sur Instant Luxe, qui propose la revente de tous types d’objets de luxe (montres, bijoux …)

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Le boom de ces épiceries où l'on travaille pour consommer

Le concept venu des États-Unis ne cesse de faire des adeptes en France. Installées ou en projet à Paris, Bordeaux, Nantes…le pays compte près d'une vingtaine de ces supermarchés coopératifs sans salarié, ni client.

Les Français veulent consommer autrement. Ainsi, de plus en plus de supermarchés coopératifs sont créés sur tout le territoire. D'autres sont en projet. Une carte, mise au point par les coopératives de Bordeaux, Toulouse et Bayonne, permet de savoir si une de ces épiceries d'un nouveau genre existe près de chez vous.  En apparence, le supermarché est tout ce qu'il y a de plus classique. En apparence seulement car le mode de fonctionnement est complètement différent. À commencer par les clients qui n'en sont pas vraiment, ce sont des adhérents, des coopérateurs. Pour devenir coopérateur, il faut avancer une petite somme de 20 à 100 euros en fonction du supermarché. En cas de départ, l'adhérent récupère la somme engagée et les parts sont proposées à un nouvel arrivant.  Il faut aussi donner de son temps, trois heures par mois en moyenne, car les épiceries sont auto-gérées. Ainsi, les adhérents tiennent la permanence, expliquent le fonctionnement aux nouveaux, mettent en rayon… et effectuent toutes les taches d'une épicerie classique. Les profils des coopérateurs sont variés mais tout le monde est sur le même pied d'égalité.

Des prix de 20% à 40% moins chers

En échange, le coopérateur dispose d'une part du magasin et peut y faire ses emplettes. En outre, les coopérateurs choisissent collectivement les produits vendus. Ils privilégient ainsi les biens de qualité, les produits bio, les petits producteurs ou les produits locaux. Et surtout les biens sont moins chers que dans un magasin classique, de 20% à 40%, confie Michael, cofondateur de DionyCoop à Saint-Denis. Et tout s'explique: les coûts fixes, tout comme les marges sont réduits.

● La Louve à Paris

Ce mode de distribution rencontre un franc succès. La Louve, qui doit ouvrir à Paris prochainement, compte déjà 3000 adhérents, et s'étendra sur 1500 mètres carrés.

● Scopeli à Nantes

Autre exemple, à Nantes, l'épicerie Scopeli, qui devrait ouvrir à 100% en fin d'année et commencer son activité dès le mois de mai, compte déjà près de 2500 coopérateurs et disposera d'un local de 1000 mètres carrés dans le centre ville de Nantes, souligne Gilles Caillaud, l'un des fondateurs.  Comme dans la plupart des autres supermarchés coopératifs, les adhérents devront consacrer 3 heures de leurs temps tous les mois et verser 50 euros pour obtenir des parts qu'ils récupéreront s'ils souhaitent se désengager.  Les prix seront de 20% à 30% moins chers que dans des magasins plus classiques et les fondateurs privilégieront les producteurs locaux, et bio autant que possible. Ils proposeront des biens alimentaires mais également des produits d'entretien, de cosmétiques ainsi que des graines bio.

● Supercoop à Bordeaux

À Bordeaux, l'épicerie coopérative, Supercoop, verra le jour début 2018 mais les coopérateurs sont toujours à la recherche d'un local. Un projet intermédiaire sera lancé d'ici quelques mois avec une épicerie de plus petite taille ouverte tous les jours, précise Sabine Curci, bénévole au sein de Supercoop.  «Nous sommes déjà 750 adhérents et pour que le magasin soit autosuffisant il faudrait que nous puissions compter sur 1200 coopérateurs», ajoute la bénévole. Le principe est le même que les autres supermarchés coopératifs: les adhérents devront verser 100 euros pour obtenir des parts du magasin et s'impliquer 3 heures par mois pour tenir le magasin et ainsi diminuer les coûts fixes. En contrepartie, il pourront acheter des produits de qualité des producteurs locaux.  D'autres magasins ne cessent de se monter partout en France, La Chouette Coop à Toulouse, Superquinquin à Lille, Otsokop à Bayonne, Coop la Meute à Grasse, La Cagette à Montpellier, Breizh'i Potes à Rennes, Demain à Lyon...

● Un concept venu des États-Unis

Aussi surprenant que cela puisse paraître, tous ces projets se sont inspirées du modèle de Park Slope Food Coop de Brooklyn, à New-York. Ce premier supermarché coopératif a été créé en 1973 et il compte aujourd'hui 17.000 adhérents.

Le documentaire Food Coop, actuellement diffusé au cinéma, qui relate le quotidien des coopérateurs devient une véritable source d'inspiration pour de nombreuses épiceries coopératives. Alors prêts à rejoindre un supermarché coopératif.

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Des fruits bio, gratuits et à volonté, c’est possible avec cette carte collaborative

Envie d’une pomme? Et si vous la cueillez dans la rue plutôt que de l’acheter? C’est ce que permet Falling Fruit, une carte collaborative qui géolocalise les arbres fruitiers et plantes comestibles dans nos villes. En gros, une Google Map pour grignoter sans frais.

A l’origine du projet, Ethan, Caleb et Jeff. Trois étudiants américains adeptes de la récupération de nourriture. «En tant qu’habitants des villes, nous avons complètement perdu le lien avec l’origine des produits que nous consommons. Nous ne savons même plus nommer les arbres qui nous entourent», s’indigne Ethan Welty.

Open data

C’est en cherchant des pommes pour en faire du cidre que l’idée lui est venue: «J’étais là, avec mon GPS et mon appareil photo à répertorier les arbres en prévision de la récolte et soudain je me suis rappelé que ce travail avait déjà été fait!», se remémore le jeune doctorant.

>>>A lire aussi: Cinq applis à découvrir pour lutter contre le gaspillage alimentaire.

Chaque ville tient en effet un registre précis des différents arbres plantés sur ses trottoirs. Des données accessibles depuis peu aux citoyens grâce aux politiques d’«open data» des mairies.

Encore fallait-il que quelqu’un s’y colle pour transformer les rudes tableurs Excel en une carte attrayante et facile d’usage.«Ça nous a demandé des centaines d’heures de travail, on a taffé tous les soirs pendant des mois…Mais en 2013 nous avons enfin publié la première version en ligne.»

700.000 utilisateurs

Et le succès est au rendez-vous. Aujourd’hui consultée par près de 700.000 personnes dans le monde (dont seulement la moitié aux Etats-Unis) la carte Falling Fruit répertorie les arbres fruitiers de plus de 2.300 villes dans 70 pays.

En France, pas moins de 9.000 arbres sont inscrits. Principalement à Paris, même si de nombreuses autres villes vont suivre «dès que j’aurai classé les données», assure Ethan.

Parmi ceux-ci on découvre des pommiers, des pruniers et des noisetiers en plein cœur de la capitale. Mais aussi des espèces comestibles moins connues comme le févier d’Amérique, dont les baies peuvent remplacer le café, ou le robinier faux-acacia qui permet de préparer de délicieuses gelées à base de fleurs.

Variétés anciennes

«C’est un choix délibéré de notre part. Nous voulons faire redécouvrir des variétés utilisées par nos ancêtres ou par d’autres cultures et qui ne servent plus chez nous que d’ornement», explique le doctorant.

Grâce à une levée de fonds de 15.000$ sur la plateforme de financement participatif BarnRaisers, l’équipe de Falling Fruit a également mis au point une application mobile pour iOS et Android. «A la différence du site, celle-ci est payante mais cet argent nous sert uniquement à payer les serveurs car nous sommes une association à but non lucratif», s’excuse à demi-mot Ethan.

Disponible en huit langues dont le français, l’application permet aux utilisateurs d’ajouter leurs propres découvertes avec photo à l’appui, position GPS et lien vers une fiche Wikipédia décrivant la plante et ses usages.

Apiculteurs et greffeurs amateurs

Une fonctionnalité qu’apprécie Thomas F., un utilisateur français de Falling Fruit. «J’ai répertorié plusieurs pommiers sauvages et l’application m’a permis en retour de découvrir de bons coins à mûres.» Lui qui se décrit comme «un citoyen normal qui mange de la viande et fait ses courses au supermarché», entend ainsi «faire un geste pour la planète et limiter le gaspillage qui atteint des proportions inconcevables».

D’autres communautés se sont aussi réapproprié cet outil: «Nous avons des apiculteurs qui l’utilisent pour connaitre la composition de leur miel, des freegans qui ont rajouté l’emplacement de bonnes poubelles et des greffeurs amateurs qui transforment des variétés décoratives en arbres fruitiers», précise Ethan.

Si les passants le regardent parfois de travers lorsqu’il escalade les arbres des parcs, c’est à chaque fois l’occasion pour lui de faire connaitre les vertus du glanage.Un bon plan devenu véritable mode de vie: «Je ne me rappelle même plus la dernière fois que j’ai acheté des fruits», glisse Ethan en souriant.

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Vente en ligne de viande Okadran.fr facilite la vente directe pour les éleveurs

Pas envie d'acheter ? Faites-vous prêter des objets du quotidien gratuitement

Le site de prêt d'objets entre voisins Mutum ne cesse de gagner de nouveaux abonnés. La plateforme collaborative va lever 2 millions d'euros auprès de ses utilisateurs qui pourront ainsi devenir propriétaire du site.

L'économie collaborative bat son plein en France. Si l'on se fie au succès de la plateforme Mutum, il y a fort à parier que tous les besoins, ou presque, seront bientôt couverts par ce concept qui permet d'optimiser l'utilisation des objets, d'agir pour la planète en consommant moins et de créer du lien social. »Le principe de la plateforme collaborative.  Le site de prêt d'objets entre voisins compte, en effet, de plus en plus d'adeptes. Aujourd'hui 56.000 utilisateurs dans 6800 villes de France s'empruntent leurs biens gratuitement sur le site, ils étaient quatre fois moins nombreux en janvier dernier. Forte de ce succès, la plateforme qui a déjà levé près d'un million d'euros pour son développement compte doubler les investissements prochainement, via du financement participatif à grande échelle. L'idée est de permettre à un maximum de personnes de prendre part au capital de la start-up. En investissant 30 euros, les personnes intéressées pourraient devenir actionnaires et ainsi participer aux prises de décisions du groupe qui emploie 14 personnes. Le fondateur assure qu'ils limiteront les gros investissements et privilégieront les investissements multiples et de faibles montants. Une première, assurent-ils.  Le nombre d'objets prêtés via Mutum est passé de 17.000 à 80.000 en seulement un mois, souligne Mathieu Jeanne-Beylot, cofondateur du site. «Nous avons simplifié la procédure de mise en ligne des objets à prêter. Là où il fallait quelques minutes pour enregistrer un bien, il faut maintenant quelques secondes!», précise le créateur de la start-up. Les membres de la plateforme s'empruntent et se prêtent mutuellement leurs objets... en quelques clics.  Selon les concepteurs du site, plus de 34 objets sont utilisés moins de 3 fois par an dans chaque foyer. Mutum, inspiré du latin mutuum, désignant le premier contrat d'entente mutuelle sous la Rome Antique, et signifiant réciprocité, emprunt, veut donc optimiser l'utilisation des objets et réduire la consommation frénétique.

Une monnaie virtuelle non spéculative

La démarche n'est pas nouvelle. Dans les campagnes, le prêt et l'entraide entre voisins se pratiquent depuis longtemps. Mais Mutum a innové avec la mise au point d'un système élaboré de monnaie virtuelle non spéculative. A chaque fois que vous prêtez un objet, vous accumulez des «mutums». De même, plus vous mettez d'objets à disposition sur le site, plus votre fortune grossit! La valeur du prêt d'un objet est calculée au moyen d'un algorithme, en fonction de la durée du prêt, de l'état et la valeur du bien. Le montant de l'échange en mutums n'est donc pas complètement déconnecté de sa valeur marchande. Toutefois, plus un objet est prêté, plus il permet d'accumuler des mutums. Ainsi, le cofondateur explique que «si je prête deux ou trois fois mon appareil à raclette, les mutums collectés permettront l'emprunt gratuit d'une paire de ski sur une semaine. Le système rend ainsi accessible des objets à des gens qui y ont peu accès». La monnaie gagnée expire au bout d'un an, afin d'éviter l'accumulation, et la spéculation, explique la start-up.  Côté sécurité, la plateforme propose un service de caution des objets avec un système d'empreinte de carte bancaire et la possibilité de télécharger un contrat d'une page. Les avis d'utilisateurs permettent également de savoir comment se sont passés les précédents prêts/emprunts de chaque utilisateur.  Par ailleurs, pour se remettre les objets, les utilisateurs doivent se rencontrer, et aussi vérifier l'état des objets. Un moyen aussi, selon les concepteurs du site, de créer des liens entre voisins et de, pourquoi pas, se rendre compte de pôles d'intérêts communs. «Nous avons été contactés par des transporteurs qui souhaitaient faciliter l'échange des objets mais nous refusons. Nous estimons que l'une des valeurs de notre système repose sur les liens crées entre habitants d'un même quartier», souligne le créateur du système. La start-up propose par ailleurs aux entreprises de créer des plateformes de prêts d'objets ou d'échanges de services entre collègues.

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Gymlib : des salles de sport sans engagement

Vous n’êtes pas sûre du cours qui vous correspond ? Vous êtes souvent en déplacement ? Vous n’êtes pas assez régulière pour vous inscrire dans une salle de sport ? Fini les excuses, avec Gymlib et ses salles de sport sans engagement, c’est l’occasion de retrouver la ligne en un rien de temps.  Rien de tel qu’un peu de sport pour retrouver la ligne ! Mais entre boulot, métro et dodo, le sport ne trouve pas toujours sa place. Pour vous aider à reprendre une activité physique régulière sans compromis sur vos envies, Gymlib propose des salles de sport sans engagement pour se mettre en forme au gré de vos fantaisies. Un bon plan minceur parfait avant l’épreuve fatidique du bikini. On adopte de toute urgence ce concept attractif qui nous réconcilie avec les salles de sport en nous permettant de trouver la nôtre quand on veut et où on veut pour bouger en toute liberté. En quelques clics, on accède à la salle de sport de notre choix pour se remettre en forme dès que l’occasion se présente et sans contraintes.

Pour profiter de ce service au rythme urbain, il suffit de se rendre sur le site Gymlib.com pour trouver la salle la plus proche parmi les 500 salles partenaires qui ont déjà rejoint le plus grand réseau de France.

Sélectionnez ensuite la formule qui vous correspond le mieux  :

Le Pass 1 entrée, idéal pour les testeuses invétérées

Le Pass 5 entrées, pour les plus motivées

Le Pass 1 mois, pour celles qui aiment avoir le temps

Le Pass 3 mois, pour celles qui ont craqué pour une des salles

C’est sans engagement ni frais d’inscription et tous les pass sont remboursables pendant 14 jours si le pass n’est pas utilisé. (bien qu’on vous encourage à l’utiliser pour être au top sur la plage). Encore plus ? Gymlib négocie pour vous les meilleurs prix auprès de ses partenaires.

Vous n’avez donc plus aucune excuse pour ne pas vous (re)mettre au sport ! 

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Les fins de mois difficiles des Français

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Déménager entre particuliers .

La saison des déménagements est ouverte. Pas de chance, vu la météo cette année, il est fort possible que la pluie soit de la partie. Bonne nouvelle en revanche, le secteur est en pleine révolution. Plusieurs plateformes collaboratives vous permettent d'organiser un déménagement «pair à pair», moyennant contribution.

Première étape dans l’organisation d’un déménagement: trouver des bras pour porter vos cartons et votre canapé. Si tous vos amis se désistent les uns après les autres, les sites Mydemenageur, Movezy ou Jemoove proposent des annonces de particuliers qui louent leurs services. «Le site fonctionne comme Le Bon Coin. Nous mettons en relation gratuitement des "gros bras" et des gens qui déménagent», précise Marion Weber, chargée de communication de Mydemenageur qui compte «1.400 gros bras inscrits en France dont 100 professionnels».

Dernière née dans  le monde du déménagement collaboratif, la plateforme Jemoove propose le même service, avec une commission de 10% sur la mise en relation. «Nous avons souhaité sécuriser les déménagements et éviter les annulations de dernières minutes», argumente Yannis Richardt, fondateur du site. Grâce à un partenariat avec l’entreprise Souscritoo, Jemoove s’occupe également de résilier vos abonnements d’électricité ou de gaz et de vous en souscrire de nouveaux. «Les trois quarts des gens déménagent sans l’aide de professionnels. Nous visons le système débrouille. L’objectif de Jemoove est de rendre la galère plus conviviale!», confie Yannis Richardt.

Un déménagement circulaire

Une fois formée votre «équipe» de déménageurs, vous pouvez commencer à emballer vos bibelots. A Paris, l’association Carton Plein revend des cartons déjà utilisés à moindre coût (10 cartons pour 9€) en employant des personnes en réinsertion. La structure organise également des déménagements à vélo dans la capitale pour environ 250€ la demi-journée.

Pour amener vos cartons à bon port, Driiveme et Luckyloc permettent de leur côté de louer des utilitaires pour 1€, le tout sans être obligé de rendre le véhicule dans la ville où vous l’avez loué. Le principe? Au lieu de payer pour déplacer leurs véhicules d’une agence à l’autre, les loueurs professionnels proposent aux particuliers d’effectuer ces mêmes trajets pour 1€. Attention, tous les trajets ne sont pas disponibles. Si vous ne trouvez pas votre bonheur, les services de locations de voitures entre particuliers (Drivy, Ouicar, Koolicar etc.) disposent aussi d’un onglet «utilitaire».

Pensez au groupage

Dans le cas où vous auriez besoin de plus d’espace, Fretbay et Cotransportage proposent un service de groupage chez des transporteurs qui ont de l’espace supplémentaire dans leurs camions. «L’idée c’est de partager la place disponible. En quelques clics, on dépose sa demande et on reçoit des offres de transporteurs», explique Areeba Rehman, la fondatrice de Fretbay. Selon les cas, la solution peut revenir «75% moins cher qu’un transport classique».

Enfin si des meubles vous restent sur les bras une fois votre emménagement terminé, les plateformes Costockage, Ouistock ou encore Jestocke offrent des solutions de stockage chez des particuliers, dans toutes les grandes villes de France. Ne reste plus qu’à se retrousser les manches…

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JOBBONS – les services entre particuliers

La startup Jobbons propose une plateforme web de mise en relation de particuliers : les uns ayant des besoins, les autres des compétences et du temps libre pour les aider.

Jobbons – les services entre particuliers

Sur Jobbons, il n’y a que des annonces de jobs ! Les besoins sont mis en avant afin d’éviter que le site ne soit submergé de propositions de services, la navigation est alors beaucoup plus fluide. Les jobbeurs potentiels mettent en avant leurs compétences avec des profils complétés, qui font office de CV lorsqu’ils postulent aux jobs disponibles.

Comment ça marche :

Parmi les 12 catégories pour poster ses besoins, on distingue 4 tendances dans les services demandés :

• À la maison : Déménagement, bricolage, jardinage, ménage, auto/moto…
• Coups de pouce du quotidien : Livraison de courses, aide administrative, dépannage informatique …
• Pour la Famille, les animaux : babysitting, soutien scolaire, garde d’animaux, pet-sitting…
• Le bien-être et les loisirs : musique, sport, soins beauté…

Faire appel à un jobbeur ne présente que des avantages :

• Gain de temps, fini les dimanches à nettoyer et s’occuper du linge
• Economies, un coup de main en plomberie pour un tout petit budget
• Sécurité, des paiements en ligne par carte bancaire sécurisés avec le système 3D Secure
• Confiance, les jobbeurs sont évalués suite à chaque job effectué

Pratiquer le jobbing permet aussi de bénéficier d’avantages fiscaux. Grâce au CESU, lorsqu’il déclare son jobbeur, un annonceur peut bénéficier de 50% de crédit d’impôts sur son job. Une tâche réalisée avec un petit budget et en plus une réduction d’impôts !

Des jobbeurs heureux : c’est tellement pratique ! Leur profil c’est leur CV et ils reçoivent une alerte job dès qu’une demande de services est postée à proximité. Ces petits boulots ponctuels et à proximité peuvent devenir un réel complément de revenus. Il est désormais possible d’arrondir ses fins de mois, selon ses compétences ou tout simplement en mettant un peu de son temps libre à profit pour aider un « voisin ».

Fondée fin 2014 par Clémence Kayser, Jobbons sera votre allié (contre les corvées) au quotidien ! La communauté compte déjà plus de 2 000 membres et ne cesse de s’agrandir.

Pour en savoir plus sur Jobbons : www.jobbons.com

Jobbons – Clémence Kayser – services entre particuliers – services particuliers – services particulier – service particuliers – service particulier

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Very Last Room ! Son principe est simple : offrir des réductions substantielles de dernière minute sur des hôtels (de 2 à 5 étoiles) à travers la France entière (dont Paris, Marseille, Nice, Lyon, Toulouse, Strasbourg, Nantes...). La baseline est simple mais efficace : "Plus tu réserves tard, moins tu payes !".

De 12h à 2h du matin tous les jours, VeryLastRoom permet d'économiser des centaines d'euros (pour des rabais allant jusqu'à -70%) sur des chambres encore invendues pour le soir-même (et uniquement le soir-même) dans les hôtels partenaires de l'application. Très user-friendly, VeryLastRoom affiche en temps réel la diminution du prix de la chambre, au centime près, en instaurant un système de gamification bien pensé. En somme, plus vous attendez, plus la réduction est importante, mais à vous de trouver la limite sans trop jouer avec le feu sous peine de voir la réservation vous passer sous le nez...

https://verylastroom.com/fr/welcome

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Ces sites d'entraide entre voisins qui surfent entre Facebook et Leboncoin

Plutôt que de glorifier la mondialisation, une batterie de sites Internet ou d'applis mobiles promeuvent les connexions entre... voisins. Ils sont de plus en plus nombreux à créer ces réseaux de voisinage 2.0 : on peut y chercher une garde d'enfant ou un dépannage ponctuel en sollicitant de bonnes âmes, situées à proximité de son lieu de résidence.

Naviguant entre site d'annonces comme leboncoin.fr et réseau social de proximité, ces sites sont l'apanage de jeunes sociétés issues d'initiative d'entrepreneuriale. Leur nom affiche clairement la couleur :   monptivoisinage, voisineo, voisinssolidaire, ma-residence.fr, La rescousse... Le pionnier, le site ma-residence.fr, crée en 2007, revendique 100.000 voisins qui s'entraident dans toute la France.

Même des entreprises traditionnelles de l'internet sont présentes sur ce créneau tel Pages Jaunes dont hamak.fr est dédié aux services d'entraide de proximité. Ces sites interviennent en général à l'échelle d'une commune, d'un quartier voire d'une résidence, dans le cas des copropriétés.

Récréer du lien social entre voisins grâce à Internet

Le grand atout du numérique est de recréer du lien social entre voisins, à la demande, avec les facilités propres à la technologie comme l'interactivité immédiate ou la géolocalisation. Mais, tisser un socle de confiance reste la base du succès de ces services. "La confiance est un facteur clé pour favoriser l'essor des sites d'entraide entre voisins. Nos super-héros, comme nous baptisons ceux qui interviennent chez leurs voisins, sont notés" explique Loup Lucas, cofondateur de La Rescousse.

La spécialité de cette société de 5 personnes, active depuis septembre 2015 sur la commune d'Asnières (92), en banlieue parisienne, est la mise en relation, via une application mobile ou une ligne d'appel téléphonique, de voisins pour des travaux de petit bricolage ou de manutention. Ces tâches requièrent des compétences souvent simples mais dont la non-réalisation gâche la vie quotidienne.

Au-delà des thèmes classiques liés aux enfants, au bricolage, au dépannage ou aux gardes d'animaux, certains sites appliquent à leur manière le fameux adage "l'union fait la force".

Coups de main gratuits ou services payants ?

C'est l'ambition récemment affichée par le site monptivoisinage.fr. Fort de ses 60.000 membres inscrits à ce jour, il inaugure une fonction d'achats groupés de proximité, conçue pour faciliter l'organisation de cette démarche collective. Pour amorcer le processus, il s’est associé avec la start-up La Box à Planter, lançant un achat groupé national de son coffret contenant tout le nécessaire (graines) pour jardiniers amateurs de produits bio. 

Les plates-formes d'entraide de proximité n'affichent pas toutes la même approche économique. "Nous incitons aux coup de main et aux échanges de service gratuits entre voisins et il n'y a pas de publicité sur le site. Pour financer notre plate-forme, nous privilégions les partenariats avec les acteurs de l'économie collaborative ou les collectivités locales" explique t-on chez monptivoisinage.fr, qui a levé 1,7 million d'euros en novembre 2015, auprès du fonds Maif Avenir.

A contrario, chez La Rescousse, on se présente plus en plate-forme d'intermédiation. Le site prélève une commission sur les transactions lorsqu'il est sollicité au téléphone, via sa hot-line dédiée, pour trouver un intervenant de proximité. "Dans 95% des cas que nous traitons, il y a une rémunération pour la réalisation des tâches demandées par les voisins. Aux clients qui utilisent directement notre application, nous suggérons de rémunérer systématiquement les intervenants" explique le Loup Lucas, cofondateur. Sa prochaine étape sera d'intégrer la fonction de paiement à sa plate-forme technique.

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Bars et restaurants où déguster un repas gratuit

Il est possible de ne rien dépenser ou presque pour manger à Paris. Certains bars et restaurants se font un plaisir de servir gratuitement le dîner à leurs clients, pour toute consommation de boisson payante.

Une à deux fois par semaine, des établissements comme Le Bouillon Belge, Le Grenier, Le Tribal Café ou encore Les Trois Frères proposent gracieusement un couscous ou des moules frites selon les soirs et la saison. Il faut le plus souvent arriver tôt pour avoir une table.
Au Penty, dans le 12e arrondissement, un plat d’amuse-bouches gratuits, des pommes de terre, des olives vertes, des carottes au cumin ou encore des bretzels accompagnent chaque commande de boisson.

A L'Olive, tous les soirs de 19h à 20h, une assiette de frites est glissée généreusement pour toute pinte de bière achetée.
La folie des aperitivo milanais envahit Paris. Dans ces bars italiens, des antipasti cuisinés comme à Milan sont offerts pour chaque verre de vin ou cocktail acheté. Au Delizie, les aperitivo sont servis gratuitement à partir de 18h. Le Culture Rapide présente un buffet apéritif gratis tous les vendredis soirs. Au Lockwood, les aperitivo sont gratuits jusqu’à 20h30.

OUREPARER.COM

Oureparer.com, le premier site dédié à la réparation de proximité.

Etrange, comme il est devenu facile de jeter pour mieux remplacer. Bien sûr, on trie, on recycle, on réfléchit. De plus en plus et de mieux en mieux. Mais lorsqu'un objet se casse, tombe en panne ou atteint le terme programmé de son existence, quel est notre premier réflexe ? Poubelle ! On aimerait les réparer nos vieilles lampes, nos fidèles télévisions, nos précieuses machines à coudre... Mais comment s’y prendre ? Et surtout, à qui s’adresser ? C’est compliqué... Une perte de temps, d’argent et d’énergie. Alors, on jette puis on rachète. Inlassablement. Pourtant, près de chez vous se cachent des experts abordables et qualifiés, capables de sauver vos objets de leur triste destin.

C’est en réalisant cela que nous avons imaginé Oureparer.com. Le premier site dédié à la réparation de proximité. Pour identifier facilement le bon artisan. Celui qui habite à côté de chez vous. Celui qui est prêt à se battre pour remettre votre vieux PC sur pied. Parce que tout le monde a le droit à une seconde chance. Même lui. Limitez vos dépenses et vos déchets. Sauvez un objet d’une mort certaine. Arrêtez de jeter, réparez !    

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Courses pas cher : 5 solutions pour bien manger

Les Français déclarent dépenser 365 euros par mois pour les courses alimentaires. Un budget en baisse de 5% sur un an. On vous donne des solutions pour bien manger avec un budget serré.

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Échanger sa maison ou son appartement? Une façon inédite de voyager. 

Avez-vous déjà songé partir en vacances sans qu'il vous en coûte un centime, sauf le prix de votre billet d'avion? Si oui, ces pages sont pour vous. Vous y trouverez toutes les raisons d'essayer un nouveau mode de vacances, celui de l'échange de maisons. Vous aimeriez voyager en étant chez vous tout en respectant votre budget? La formule d'échange d'appartement ou de maison vous conviendra... Villa, maison, appartement: troquez - les et vive les vacances gratuites!    http://www.echangedemaison.com/

Pour plus de renseignement voir le site :  http://www.vacances-echange.info/

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Bon plan : Wanted Mania chasse les prix pour vous

Vous n’êtes pas le roi des bons plans ? Alors laissez les autres les dénicher pour vous. Wanted Mania propose de mettre sa communauté sur le coup pour vous faire dépenser moins !

Vous aimeriez bien acheter un nouveau smartphone, ou un ordinateur, mais vous n'avez pas envie ou vous ne pouvez pas le payer le prix fort. On vous comprend. Le site Wanted Mania aussi, puisqu'ilpropose de monter une communauté de chasseurs de prix, des consommateurs qui viennent à votre aide.

Le principe est assez simple : vous déposez sur le site l'annonce de l'objet qui vous intéresse, en mentionnant le prix auquel vous l'avez repéré. Puis, vous lancez un compte à rebours (le nombre de jours que vous laissez aux chasseurs pour trouver des réductions), et la communauté du site Wanted Mania se met en ordre de marche pour trouver le même objet moins cher, jusqu'à trouver le prix imbattable.

Quel intérêt d'être sympa pour les autres, allez-vous demander ? Eh bien les chasseurs de prix ont aussi quelque chose à y gagner, puisque qu'ils touchent environ 10 % de la somme économisée par rapport au prix de départ. Par exemple, celui qui a fait 200 € sur le prix d'une console de jeu, empocherera environ 20 € sur la vente !

Et pour ceux qui déposent une annonce, les réductions observées en moyenne jusque-là ne sont pas négligeables: les rabais sont de l'ordre de 20 à 30 % pour des objets neufs.

Plus d'infos sur wantedmania.fr.

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Airbnb, BlaBlaCar, Drivy : partager, c'est gagner

Quand, en vacances à Cuba, vous logez chez un médecin qui loue chaque chambre de sa maison, propose d'être votre guide et de vous louer son vélo, c'est le tiers-monde, un signe de naufrage économique. Si, en vacances à New York,vous logez chez l'habitant dans un loft à Brooklyn, c'est de la sharing economy et c'est génial.

Dans cette nouvelle économie du partage, chacun prête sa maison, sa voiture, son temps, avec les meilleures intentions. Une économie que l'on a encore du mal à chiffrer, mais qui prend de l'ampleur. Parce qu'elle trouve « débile d'avoir une voiture garée dans la rue toute la journée », Sylvie, mère célibataire de 52 ans et habitante d'une ville du sud de la France, loue sa voiture sur Drivy, en plus d'une chambre sur Airbnb. Evidemment, des jardins ouvriers aux chambres d'hôtes, les petits gagne-pain extraprofessionnels ne sont pas nouveaux. Mais Internet leur a donné une envergure exceptionnelle et un vernis vertueux.

DES SOCIÉTÉS SOUVENT FINANCÉES PAR DES FONDS D'INVESTISSEMENT

Selon la terminologie en vigueur, Sylvie ne fait pas de travail au noir, mais participe à « l'économie de partage », une appellation qui nous ferait oublier que le philosophe Pierre Rabhi et le moine bouddhiste Matthieu Ricard ne sont pas à l'origine de ces initiatives.

Il s'agit plutôt de sociétés, souvent financées par des fonds d'investissement, atteignant parfois des valorisations extraordinaires. Dernier exemple en date :BlaBlaCar, une société française de covoiturage, vient de lever 100 millions de dollars pour poursuivre son développement. « Il y a une tension inhérente àrappeler que des business multimilliardaires comme Airbnb [le leader des sites de partage d'appartements] et Uber [site de voitures avec chauffeur] sont fondés sur le partage », reconnaît Rachel Botsman, l'universitaire qui a popularisé l'expression d'« économie collaborative » dans son livre de 2010, What's Mine Is Yours (Ce qui est à moi est à toi, Collins).

« C'est effectivement malin de maximiser la capacité existante, mais il ne s'agit pas seulement de gens qui adorent partager », rappelle Diouldé Chartier de D'cap Research, agence d'études et de conseil à l'origine d'un observatoire sur les« solutions de débrouille sous la contrainte ». Etre propriétaire à plusieurs, « c'est un truc que les pauvres font par nécessité et qui est devenu vaguement hype avec la mouvance écologique ».

LE MOTEUR PRINCIPAL : GAGNER UN PEU D'ARGENT

Mais, rappelle-t-elle, le moteur principal de cette économie n'est pas de partagermais de récolter un peu d'argent. « Ça ne te dérange pas d'avoir quelqu'un que tu ne connais pas dans ta salle de bains ? », a dit une de ses copines à Martine, 62 ans, qui a inscrit une chambre de son F3 sur le site Homestay. Si, si bien sûr. Tout comme elle n'a pas aimé celui qui rapportait des sacs McDo tous les soirs, l'odeur de graillon dans le salon. « Mais tu gagnes ta vie aussi... »

Près de 2 500 euros cette année en ce qui la concerne, soit un mois et demi de son salaire de travailleuse sociale en plus. Sylvie, elle, paie l'entretien de sa voiture avec ce qu'elle gagne sur Drivy, les charges de sa maison avec Airbnb. En free-lance, elle avait connu deux mauvaises années en 2011 et 2012, « ça [lui] a permis de sortir la tête de l'eau ».

« La nécessité crée des choses vertueuses, mais il ne faudrait pas en conclure qu'on est passé dans l'ère de la post-possession. »

Dans beaucoup de cas, note encore Diouldé Chartier, « on ne partage pas pour se désengager de la propriété mais pour la garder ». Le covoiturage amortit le coût de l'automobile et permet de ne pas y renoncer. « La nécessité crée des choses vertueuses, mais il ne faudrait pas en conclure qu'on est passé dans l'ère de la post-possession. »

« Je n'ai jamais essayé de dire que c'était un système anticapitaliste en rupture avec la consommation », se défend Paulin Dementhon, 35 ans, fondateur deDrivy. Avant de lancer ce site de location de voiture entre particuliers, ce diplômé de HEC avait commencé par une plateforme de covoiturage. « C'est du vrai business. J'ai horreur qu'on nous présente en système artisanal. Le particulier à particulier, c'est plus agile, plus efficace que les grosses boîtes pyramidales. »

A son échelle, Sylvie en témoigne : « Les gens qui louent ma voiture sont souvent des Parisiens. Ils arrivent le vendredi soir à 22 heures, les loueurs sont fermés et, le dimanche soir, ils ne peuvent pas la rendre... Moi, je vais les chercher à la gare. »

BEAUCOUP DE PRÉTENDANTS À DEVENIR LES NOUVEAUX AIRBNB, PEU D'ÉLUS

Sur Internet, quantité de sites ambitionnent désormais de devenir les Airbnb du... dépannage à domicile (Ding Dong), du stockage (Costockage), des salles de réunion (Bird Office), voire de l'animal domestique (Animal-futé)... Tous essaient de trouver l'équation de ce qui peut faire un succès. Mais, en économie collaborative comme en football, on analyse mieux les mauvaises stratégies les lendemains de match. Pour qu'un marché émerge, il faut d'abord de la capacité disponible (une voiture garée 90 % de son temps), une valeur économique à l'échange (notre aptitude à changer nos comportements dépend de ce qu'on y gagne), de faibles coûts de transaction et une offre suffisante.

Voilà pourquoi la perceuse est le contre-exemple par excellence. Elle a bien une durée d'exercice de douze minutes sur toute sa vie. Mais prendre contact avec des inconnus pour une transaction de 3 euros pour un objet qui en coûte 30 chez Leroy Merlin, sachant qu'on n'a pas tant d'occasions que ça de percer des murs... C'est beaucoup de « friction », comme ondit dans les start-up pour parler des efforts requis, pour un simple trou.

On guette l'avenir de La Machine du Voisin, un site qui permet, comme son nom l'indique, d'aller faire sa lessive chez le voisin. Il est vrai que le lave-linge, comme la voiture, tourne peu sur une journée. Laver son linge chez un voisin pour 3 euros, est-ce vraiment plus intéressant qu'à la laverie ? Peut-être. Histoire de faire(aussi) des rencontres en pliant ses culottes.

Lancées par des jeunes, ces start-up règlent souvent les problèmes de ceux qui leur ressemblent. On y parle « valo » (valorisation financière), « évangélisation » (faire évoluer un comportement) et « friction ». Les Etats-Unis ont déjà vu sedévelopper quinze sites collaboratifs autour du linge sale. « Les idées de start-up de partage des étudiants s'adressent toujours à une cible de jeunes actifs plutôt nomades », plaisante une prof en école de commerce.

LES SITES VENDENT LA CONFIANCE QU'ON PEUT PLACER EN LEURS UTILISATEURS

« L'énorme secteur qui reste à développer est celui des services à la personne »,croit Paulin Dementhon de Drivy. « Quand on cherche une baby-sitter, on en est encore à appeler ses amis... » A l'heure où l'auto-stop a disparu, où les crèches interdisent les gâteaux d'anniversaire faits maison, les sites de consommation collaborative vendent tous la même chose : la confiance qu'on peut placer en leurs utilisateurs. « J'avoue que, quand je vais me coucher, je n'ai pas peur de laissermon sac à main visible dans le salon », raconte Martine, qui sous-loue une chambre de son F3 parisien quelques jours par mois.

La première fois que Géraldine a loué une voiture avec des amis par l'intermédiaire de Drivy, une femme est venue leur apporter sa Clio à la gare deBrive-la-Gaillarde. Cela correspondait au type de véhicule qu'elle aurait choisi chez un loueur, au petit autocollant de pin-up à l'arrière près. Quand sa fille s'est assise sur le siège enfant et s'est essuyé les pieds sur le dos du siège du conducteur, Géraldine l'a grondée. « Tu salis la voiture de la dame ! » Une remarque qu'elle n'aurait probablement pas faite dans une voiture Avis.

Quand Adeline, jeune et jolie étudiante lilloise, a annoncé à ses parents qu'elle avait trouvé une voiture qui l'emmènerait de Lille à Lyon sur BlaBlaCar, sa mère n'en a pas dormi de la nuit. Aujourd'hui, elle se demande pourquoi. Non pas que levoyage se soit bien passé. Au contraire, la voiture est tombée en panne. Mais c'était formidable !

« Il y avait une femme plus âgée que nous qui disait qu'il fallaitprofiter du moment présent... »

Sur les six passagers de la voiture, un seul râlait. Pas sûr qu'ils auraient réagi de la même façon si le contrôleur d'un train en panne ou un loueur d'Avis les avaient invités à profiter du moment présent. Et c'est tout le génie de ces sites. Si votre interlocuteur n'est pas le représentant d'une entreprise mais un particulier, non seulement vous acceptez plus volontiers les défaillances, mais vous faites plus d'efforts. C'est ce qui explique que les sites de partage vous encouragent à postervotre photo, à indiquer le plus de choses possible vous concernant. On traite mieux quelqu'un qu'on connaît.

UNE TENDANCE À LA CONSOLIDATION

Autre point crucial pour une nouvelle plateforme, il faut une masse critique, un catalogue d'offres suffisant. C'est tout le paradoxe de l'économie collaborative qui joue le small is beautiful alors que, pour un site, avoir le monopole est un réel avantage. Plus une plateforme a d'offres, plus le particulier a de chance de trouverce qu'il cherche. D'où les mouvements de consolidation en marche dans tous les secteurs.

Dans la location de voitures de particulier à particulier, la France est un des pays qui a vu éclore le plus d'initiatives – plus d'une douzaine de sites. Mais la plupart ont dû se vendre les uns aux autres faute de disposer d'un quadrillage géographique suffisant pour que les utilisateurs y trouvent ce qu'ils recherchent.

Le problème quand on devient gros, c'est de réussir à « rester un village », pourreprendre la métaphore souvent utilisée par Airbnb. Les early adopters(utilisateurs pionniers) des systèmes collaboratifs sont les plus zélés et mettent une énergie folle à préserver cet esprit « village ». Martine, qui loue une chambre sur Homestay, est allée chercher des jeunes à la gare, a relu le rapport de stage en français d'une étudiante anglaise. La plupart des personnes contactées pour cet article mettent un point d'honneur à raconter les confitures maison proposées au petit déjeuner, l'Australien enchanté par la recommandation d'un restaurant, la visite commune d'un monument de la ville.

« Quand les choses changent d'échelle, elles changent forcément de nature »,

Mais que deviennent ces relations très personnelles quand les sites grossissent ? Odile et Philippe, des médecins retraités qui cherchaient une voiture pour l'été, sont tombés sur plusieurs offres avec différentes adresses et un même numéro de téléphone. « Qui sont ces gens qui ont plusieurs voitures à louer ? »

En louant un appartement à Londres, Claire, agricultrice, n'y a jamais rencontré de particulier. En vacances en Grèce, Sylvie a loué une maison formidable, mais a compris que la personne qui la lui louait gérait plusieurs propriétés. En prenant de l'ampleur, les sites attirent des acteurs qui se professionnalisent et les services fournis ressemblent de plus en plus à ceux d'hôtels. Airbnb n'a décollé que lorsque le site a envoyé des photographes professionnels chez les gens pourmettre en valeur les logements proposés. Le site Zenpark met en contact particuliers et entreprises en mutualisant par exemple les places de parking des hôtels.

Est-on toujours dans le particulier à particulier ? « Quand les choses changent d'échelle, elles changent forcément de nature », fait valoir Diouldé Chartier. C'est aussi l'argument des professionnels qui paient des licences, des charges, respectent des régulations et digèrent mal la concurrence d'un secteur informel qui s'en affranchit. Sylvie et Martine ne déclarent pas leurs revenus de Drivy, Airbnb et Homestay.

DES SITES EN AVANCE SUR DES LOIS INADAPTÉES

D'autres utilisateurs se font payer sur Paypal et utilisent leur compte Paypal pourfaire des achats en ligne... Si bien que cet argent ne transite jamais par un compte français et échappe au fisc. Ironiquement, l'économie de partage n'est pas dans la redistribution. « Il y aura forcément des encadrements, des règles fiscales à poser », concède Paulin Dementhon de Drivy. « Mais que des services soient illégaux n'empêche pas les start-up d'avancer », note Emmanuel Arnaud du site d'échange de maisons et d'appartements GuestToGuest.

Autrement dit, les sites de partage ne se comportent pas comme s'ils étaient en effraction, mais comme si, visionnaires, ils avaient un coup d'avance sur des lois inadaptées. Des villes comme Amsterdam et Hambourg ont changé leurs lois sur le bail, d'autres suivront sans doute. Du côté d'Airbnb, une armée d'avocats étudie les lois selon les pays... et s'adapte. « Plus un site est important, plus il se protège de la concurrence et des régulations », résume Rachel Botsman.

Tout le jeu consiste donc à employer un discours solidaro-utopiste en devenant le plus gros possible. Comme déclarait sur Twitter Marc Andreessen, le cofondateur du navigateur Netscape, figure de la Silicon Valley, aujourd'hui capital-risqueur et défenseur d'Uber, « une fois qu'un service devient plus pratique et qu'il est adopté, personne n'est prêt à revenir en arrière ». « On va inventer des trucs qui n'existaient pas, créer du travail en plus... », promet Paulin Dementhon.

« Nous vivions dans un monde où il y avait des gens et des entreprises. Maintenant nous sommes dans un monde où les gens peuvent devenir des entreprises en soixante secondes. »

Début juillet au Aspen Ideas Festival, un séminaire de conférences dans le Colorado, Brian Chesky, le cofondateur d'Airbnb, a lui aussi promis une nouvelle économie capable de résister à la crise et à l'automatisation en misant sur l'humain. Avant la révolution industrielle, a-t-il expliqué, « les villes étaient des villages dans lesquels chacun était une sorte d'entrepreneur ».

L'économie de partage nous permet de retrouver cette organisation. Elle va nousdébarrasser des grosses chaînes franchisées. Tout pourra être à nouveau petit, a rêvé le patron du géant de l'hébergement, bientôt les restaurants seront dans les salles à manger : « Nous vivions dans un monde où il y avait des gens et des entreprises. Maintenant nous sommes dans un monde où les gens peuventdevenir des entreprises en soixante secondes. »

LE CREDO DES SITES DE SHARING : SE FIER À LA BONNE  RÉPUTATION

« C'est le levier positif de la familiarité et du côté humain qui rend acceptable que ce grand marché de la dérégulation soit présenté comme l'avenir... », résume Diouldé Chartier. A chacun selon ses biens et ses talents, mais aussi selon sa réputation. Adeline l'étudiante se targue de « ne jamais prendre de conducteurs qui n'ont pas cinq étoiles sur BlaBlaCar ».

C'est le credo des sites de sharing : les utilisateurs mal notés par la communauté ne font pas long feu et le service progresse. Dans le monde de demain, « plus vous ferez connaître votre bonne réputation, plus elle vous ouvrira de portes », a promis Brian Chesky dans sa conférence. Des sociétés développent déjà des projets permettant de mutualiser la confiance acquise d'un site à l'autre : les utilisateurs bénéficieraient de sortes de carte d'identité de la sharing economy, qui permettraient, par exemple, à celui qui a des « étoiles » sur BlaBlaCar d'y faireréférence sur d'autres sites.

Mais le marché n'est pas toujours aussi vertueux. Une étude de la Harvard Business School montre que sur Airbnb, à logement équivalent, les loueurs noirs sont payés 12 % de moins que les blancs. « Pour éviter les discriminations, il suffirait que le site retire les photos des utilisateurs », observe Benjamin Edelman, coauteur de l'étude. Mais Airbnb ne le fera pas. La photo fait partie du succès commercial de la plateforme. « C'est facile d'apprécier ces entreprises. Mais elles soulèvent des questions dans leur façon d'ignorer les lois et le rôle de l'Etat... ».

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Des astuces pour faire des économies

Mois après mois, vos finances personnelles se tendent et vous avez bien du mal à joindre les deux bouts. Comment retrouver un peu d'air à vos finances ? Comment avoir des fins de mois moins difficiles ? Pour vous aider à répondre, nous avons passé en revue quelques opportunités et réflexes que vous pouvez être tenté d'adopter. Nous les avons analysé afin de voir s'ils permettaient de faire de réelles économies. Sans tarder découvrez celles qui sont à suivre ou à éviter afin de dépenser moins sans se restreindre plus, au contraire en améliorant son bien-être.

Réduire les frais de transport en optant pour le covoiturage

Pour parvenir à faire des économies efficacement, attaquez-vous aux dépenses de tous les jours tels que la voiture. Pour alléger la note de carburant, pensez au covoiturage. Renseignez-vous par exemple auprès de collègues qui emprunteraient plus ou moins le même trajet que vous. Sinon, de nombreux sites vous permettent de trouver un ou plusieurs passagers et vous garantissent le paiement. Des parkings dédiés sont aussi prévus dans de nombreuses villes.

Notre verdict

 Bonne piste mais pas accessible à tous

 Le plus : une économie importante sur une année

 Le moins : pas tout à fait libre au niveau des horaires

Savoir utiliser à bon escient les cartes de fidélité

Surveillez bien les avantages offerts par les magasins ou autre boutique, y compris les restaurants, que vous fréquentez le plus souvent. Ils proposent probablement une carte de fidélité vous donnant droit à des réductions en fonction du montant de vos achats ou des produits achetés. Même si vous aller consommer plus, vous ferez des économies sans effort sur vos achats réguliers ou occasionnels.

Notre verdict

 Bonne piste mais économies aléatoires

 Le plus : des réductions régulières ou des bons d'achat de plusieurs euros

 Le moins : consommer parfois plus pour avoir accès aux réductions

Opter pour la colocation ou le partage de son logement pour réduire le loyer

Baisse des revenus, hausse légale du loyer, changement de situation matrimoniale tel qu'un divorce ou une séparation... Autant de situations qui peuvent rendre la charge du loyer trop lourde. Pour résoudre cette difficulté, pensez à partager votre logement et donc le loyer avec une autre personne. Bref à tenter l'expérience de la colocation. Mais prenez soin de demander l'accord du propriétaire.

Notre verdict

 Bonne piste pour se loger avec un budget limité

 Le plus : réduction du budget logement

 Le moins : risque de reverser une partie du loyer perçu au propriétaire

Mettre en location des objets personnels peu utilisés

A défaut de générer des revenus importants, vous pouvez amortir l'achat d'objets dont vous savez que vous serez amenés à peu les utiliser. Perceuse, tracteur à gazon, remorque, découpe de bois, ponceuse, vélo, costume... Là encore, c'est par Internet ou votre réseau personnel que vous trouverez des personnes intéressées. C'est le cas du site Place de la loc.

Notre verdict

 A essayer au moins une fois

 Le plus : réduire le coût d'objet parfois inutile et encombrant

 Le moins : contrôler le sérieux des personnes à vous louer

Privilégier les loisirs gratuits et les rendez-vous culturels en accès libre

Aller au musée gratuitement le vendredi soir à Paris à partir de 18 heures lorsque l'on a moins de 26 ans ou chaque premier dimanche de chaque mois pour tout le monde, des activités sportives proposées par son entreprise, assister aux évènements en plein air de sa ville... Les occasions de se distraire gratuitement ne manquent pas mais varient selon les villes ou les entreprises. Renseignez-vous en mairie et auprès de votre comité d'entreprise, vous aurez probablement de bonnes surprises.

Notre verdict

 Bonne piste pour se distraire à moindre frais

 Le plus : la variété des loisirs

 Le moins : des tranches horaires limitées et la régularité

Acheter ses vêtements dans les magasins d'usine

Le temps passe mais le bon plan reste : acheter ses vêtements dans des magasins d'usine. Les marques y écoulent les surplus de stocks ou les vêtements ayant quelques défauts. Pour vous, l'intérêt est évidemment financier puisque ces produits sont vendus moins chers que dans une boutique en centre-ville ou dans un centre commercial.

Notre verdict

 Bonne piste pour s'habiller avec un budget serré

 Le plus : des vêtements de qualité à moindre coût

 Le moins : le petit nombre de points de vente

Ne plus hésiter à renégocier son abonnement de téléphonie mobile

Vous possédez un abonnement téléphonique depuis déjà plusieurs années mais son coût vous semble aujourd'hui trop élevé par rapport à votre consommation. Pour baisser le coût, comparez les offres des opérateurs et contactez directement votre service client. L'arrivée de Free a permis de mettre en tension la concurrence. Un geste commercial quelque soit votre opérateur est devenu fréquent : des services en plus, un nouveau téléphone... Mais n'en restez pas là, demandez une réduction de prix. Vous êtes en position de force, profitez s'en.

Notre verdict

 Excellente piste pour faire des économies

 Le plus : une économie dans la durée

 Le moins : aucune garantie d'obtenir satisfaction

Partager sa place de parking ou son garage

Quelle que soit la taille de la ville, il manque des places de parking. Un calvaire le matin ou le soir pour trouver un emplacement. Pour ceux qui ont la chance d'avoir un parking ou un garage cela peut représenter une charge non négligeable. Que vous soyez propriétaire ou locataire de la place, pensez à la partager. Pour être plus précis à la sous-louer pendant les périodes où votre place reste vide : heures de bureaux, fin de semaine... Une occasion de réduire les frais de parking pour tour le monde.

Notre verdict

 Bonne piste pour faire des économies

 Le plus : tirer un revenue des périodes où la place de parking n'est pas utilisée

 Le moins : une pratique qui n'est pas encore très développé

Consommer moins d'électricité et réduire sa facture EDF

Diminuer sa consommation d'électricité est l'un des plus efficaces et durables moyen pour faire des économies. Parmi les bonnes pratiques : opter pour les leds ou les ampoules à économie d'énergie, privilégier les douches aux bains, laver le linge peu sale à 30°C, choisir des appareils de chauffage munis d'un thermostat, changer le vieux radiateur électrique, mettre un détecteur de présence ou un timer pour éviter qu'une lumière flambe pour rien...

Notre verdict

 Bonne piste pour réduire ses dépenses

 Le plus : des gestes simples à mettre en pratique et efficace

 Le moins : ne convient pas pour un logement mal isolé en ce qui concerne le chauffage

Opter pour des billets de train d'occasion

Lorsqu'il s'agit de réserver un billet de train en dernière minute, les prix sont souvent exorbitants, en particulier sur les longs trajets et le TGV. Si vous vous retrouvez dans cette situation, pensez à consulter des sites comme Troc des Trains, Ze Pass ou Passetonbillet. Ces sites web mettent en relation des personnes qui cherchent un billet et celles qui cherchent à s'en débarrasser à bas prix. L'intérêt est que ces billets sont bradés.

Notre verdict

 Economie aléatoire

 Le plus : un prix maximum connu d'avance (le prix du billet payé par le revendeur)

 Le moins : disponibilité des billets et réactivité des vendeurs irrégulières

Profiter des bons de réduction proposés par les magasins ou sur les produits

Pour réduire vos dépenses pour vos courses, pensez à vous munir de bons de réduction. Vous pouvez les récolter directement dans les magasins mais aussi sur les sites des marques, comme Danone ou Leclerc ou sur des sites dédiés aux bons de réduction. Attention, les bons de réduction s'appliquent surtout aux produits de marque qui restent plus chers que ceux des distributeurs. Mais c'est justement une belle occasion de se faire plaisir. 

Notre verdict

 Economies très aléatoires

 Le plus : facilité d'accès aux réductions

 Le moins : on peut finalement dépenser plus que ce qu'on voulait

Profiter des promotions des banques et des compagnies d'assurance

Il est possible de faire des économies avec sa banque ou son assurance. S'il y a toujours les courriers proposant par exemple, de temps à autre, la gratuité de la carte bancaire pendant un an si vous ouvrez un compte bancaire chez eux, le site Financensemble.fr a décidé de développer des achats groupés et décrocher ainsi des réductions. Attention, pour que cela soit intéressant, regardez à deux fois les offres proposées et confrontez-les à vos besoins. Pensez aussi qu'il faudra dans certains cas clôturer votre compte actuel pour réaliser une plus grande économie. Pas si simple...

Notre verdict

 Economies restreintes

 Le plus : des offres fréquentes

 Le moins : des avantages ciblés sur le haut de gamme ou en trop faible quantité

Utiliser l'autopartage pour diminuer son budget auto

L'idée de l'autopartage ? Disposer d'un véhicule uniquement au moment où l'on en a besoin. A l'image des réseaux de location de vélos dans les grandes villes de France, les véhicules sont en libre-service dans des stations dédiées. Il peut exister plusieurs réseaux d'autopartage autour de vous.

Notre verdict

 Bonne piste quand on vit en ville

 Le plus : pas de contrainte d'entretien de la voiture

 Le moins : peu de véhicule disponible

Se faire coiffer à moindre frais par un apprenti-coiffeur

Pour se faire coiffer chez un professionnel, il en coûte au minimum 18 euros pour les hommes et 30 euros pour les femmes. Trop cher pour vous ? Tournez-vous vers les écoles de coiffure de votre région où vous avez la possibilité de vous faire coiffer à moitié prix, voire gratuitement par un apprenti. Rassurez-vous, un professionnel surveille le travail de l'élève et se tient prêt à intervenir en cas de problème.

Notre verdict

 Bonne piste pour faire des économies

  Le plus : la coupe est parfois gratuite

 Le moins : la séance prend souvent plus de temps que dans un salon classique

Recourir au dépôt-vente pour se meubler à moindre coût

Le principe de l'achat en dépôt-vente ressemble à celui du vide-grenier dans la mesure où le but est d'acheter d'occasion donc à moindre coût. La différence est qu'il existe un intermédiaire entre le vendeur et l'acheteur : la société de dépôt-vente, qui touche une commission pour son activité. Selon les magasins, vous pouvez y trouver des vêtements, des objets, des meubles... Des défauts peuvent exister mais ils sont moindres que dans une brocante et vous disposez d'une garantie d'après-vente.

Notre verdict

 Economies aléatoires

 Le plus : responsabilité du vendeur en cas de vice caché

 Le moins : aucune garantie de trouver l'objet recherché

Partez en vacances chez l'habitant

C'est plus qu'un art de vivre. Partir en vacances chez l'habitant peut permettre de passer des congés reposant à moindre frais par rapport à l'hôtel. Plusieurs formules sont possibles : de la chambre louée et la vie en commun avec la famille à l'échange de logement, en passant par l'hébergement gratuit. Le tout en contrepartie de services rendus. Tout semble possible et adaptable à ce que vous recherchez. C'est aussi un bon plan pour compléter des revenus que de proposer votre logement à la location quelques jours par an à condition d'adapter votre assurance habitation en conséquence.

Notre verdict

 Bonne piste pour partir pas cher en vacances

 Le plus : accessible à tous sans restriction

 Le moins : la disponibilité du logement au moment et lieu souhaité

Savoir profiter des périodes de soldes ou de promotions

Chaque année est marquée par deux grandes périodes de cinq semaines de soldes : les magasins peuvent vendre à perte les stocks non vendus. Pour 2015, ils ont lieu en janvier et juillet, sous réserve de dérogation et de modification. En dehors de ces périodes, les magasins peuvent faire des promotions mais sans vendre à perte. Souvent, c'est en achetant plusieurs produits qu'on vous accordent une réduction.

Notre verdict

 Bonne piste mais économies incertaines

 Le plus : des démarques jusqu'à 70 ou 80 % sur le prix de vente de départ

 Le moins : un choix moins libre et large

Anticiper les achats de Noël le plus tôt possible

Vous en avez assez du stress de la recherche des cadeaux en dernière minute au mois de décembre ? Achetez-les au mois de septembre ou octobre. En effet, passée cette période, de nombreuses marques ont tendance à augmenter leurs prix jusqu'au 25 décembre. Alors, si vous avez déjà une idée des présents que vous allez faire à votre entourage, pensez-y le plus tôt possible ! Ou bien attendez le 26 décembre. Les magasins n'hésitent plus à casser les prix pour réduire les invendus, mais vous aurez moins de choix.

Notre verdict

 Economies aléatoires

 Le plus : éviter la cohue au moment des fêtes et des prix plus élevés

 Le moins : risque d'un achat qui ne soit plus tendance ou peu prisé

Effectuer ses achats d'occasion par Internet

Lorsqu'on parle d'achat d'occasion on pense tout de suite à une voiture. Ce n'est la seule possibilité. Meubles, électroménager, vêtements... Tous ces biens peuvent être achetés en seconde main. Et avec Internet, cela est devenu très rapide. ebay.fr, Le bon coin, troc.com... Les sites web ne manquent pas. Il ne reste plus qu'à voir si les biens proposés correspondent à vos besoins, si les vendeurs sont sérieux et les objets bien réels.

Notre verdict

 Bonne piste pour faire des économies

 Le plus : un choix illimité et renouvelé grâce aux nombreux utilisateurs

 Le moins : le risque de mauvaise qualité des biens ou objets

Profiter des ventes en grosse quantité dans les hypermarchés et les supermarchés

Tout au long de l'année, les supermarchés proposent des aliments et autres produits courants en grosse quantité. Par exemple, une dizaine de morceaux de viande conditionnés dans le même emballage ou des paquets de gâteaux secs par lot de trois... Résultat, le prix au kilo est plus avantageux. Enfin en principe. Contrôlez les prix au kilo pour vérifier l'économie réalisée.

Notre verdict

 Bonne piste pour faire des économies

 Le plus : des produits de qualité semblable à ceux vendus séparément

 Le moins : nécessité de disposer d'un congélateur ou d'un lieu de stockage

Acheter dans un vide-grenier

Flâner dans les vide-greniers est l'occasion de dénicher des objets que vous auriez peut-être achetés en magasin. Mais ici, la marchandise est d'occasion, ce qui signifie que vous pouvez l'obtenir pour un prix moins élevé ou avec quelques défauts en plus. Sans comptez que vous pouvez marchander. Les organisations de vide-greniers se multiplient depuis une dizaine d'années. Vous n'aurez donc pas de mal à en trouver un près de chez vous. Il vous suffit de jeter un œil dans la presse locale ou sur les affiches des commerçants pour en connaître les dates précises.

Notre verdict

 Economies incertaines

 Le plus : possibilité de négocier le prix au plus bas

 Le moins : risque de ne pas trouver le ou les objets recherchés

Effectuer des achats groupés pour payer moins cher

Aujourd'hui de plus en plus de sites Internet proposent des conditions préférentielles d'achat en négociant des prix pour un groupe de personnes. En règle générale, plus le nombre d'acheteurs est important, plus le prix baisse. Chacun sait qu'en achetant de grosses quantité on parvient à payer moins à l'unité. C'est sur ce concept que se développent des marques comme Groupon, LivingSocial ou Le Trader. Il n'est pas nécessaire de se connaître mais de partager vos goûts pour faire de bonnes affaires.

Notre verdict

 Economies aléatoires

 Le plus : la variété des produits et services proposés (vacances, places de cinéma, meubles...)

 Le moins : les éventuelles commissions ou conditions de vente restrictives

Penser aux cartes d'abonnement pour le transport, les loisirs...

Transports en commun, péages d'autoroute, cinéma, piscine, bibliothèque... Pour toutes ces activités, vous avez la possibilité de ne pas payer le plein tarif à chaque utilisation grâce aux cartes d'abonnement. Pour le cinéma, optez par exemple pour une carte cinq séances plutôt qu'une carte illimitée qui est plus difficile à rentabiliser si vous allez moins de quatre fois par moins au cinéma. Pour le train, il existe plusieurs formules en fonction de votre profil vous permettant d'accéder à des réductions allant de 25 ou 50 %.

Notre verdict

 Economies incertaines

 Le plus : une économie importante sur le long terme

 Le moins : nécessité d'utiliser régulièrement ces services pour faire de réelles économies

Regrouper ses crédits en un seul

Selon une idée reçue, regrouper ses crédits permettrait de faire des économies. Attention ! En rassemblant toutes vos dettes en une seule, la durée de remboursement est souvent allongée. Ce qui signifie que vous respirez probablement mieux chaque mois avec des mensualités moindre mais au final, le coût total du crédit augmente. Avant de procéder à une telle opération, demandez donc au banquier de vous spécifier précisément la somme totale que vous avez à rembourser et le coût final.

Notre verdict

 Economies illusoires

 Le plus : un pouvoir d'achat supérieur chaque mois

 Le moins : une situation financière qui ne s'améliore pas toujours sur le long terme

Récupérer de l'eau de pluie pour économiser la facture d'eau

Voilà un moyen simple à mettre en place pour faire baisser votre facture d'eau : récupérer l'eau de pluie. En plaçant cuvettes et bassines dès que le temps se fait menaçant, vous pouvez récupérer de l'eau pour laver votre voiture ou arroser vos plantes. Vous pouvez aussi installer un récupérateur d'eau ou une cuve permettant un plus grand stockage mais cela nécessite un investissement financier supérieur à 5 000 euros.

Notre verdict

 Economies aléatoires

 Le plus : l'effet immédiat sur la consommation d'eau

 Le moins : l'équipement nécessaire pour faire une récupération d'eau efficace.

Faire son potager tout au long de l'année

Manger de manière équilibrée et saine nécessite d'acheter des légumes. Pour économiser cette dépense et si vous possédez une parcelle de terrain à côté de votre logement, pourquoi ne pas cultiver votre potager et profiter de vos propres légumes ? A condition d'avoir la main verte et de bénéficier de conditions climatiques favorables : suffisamment de pluie, pas de grêle ou de tempête détériorant les plantations.

Notre verdict

 Bonne piste pour consommer à moindre frais

 Le plus : obtenir des produits frais et de saison

 Le moins : variations de climat

S'adonner à la cueillette des fruits et légumes

Cueillir des framboises à l'arrivée de l'été, des mûres à la fin de l'été ou des champignons à l'automne... Ces petits plaisirs pour le palais ne réclament pas un centime d'investissement. Et selon les quantités ramassées, ils permettent d'alimenter son réfrigérateur. Attention toutefois de ne pas vous rendre par mégarde dans des propriétés privées. Privilégiez les bois, forêts et autres sentiers et ne vérifiez que ces baies ou champignons soient comestibles.

Notre verdict

 Economies limitées

 Le plus : plaisir de consommer ce que l'on a récolté

 Le moins : très dépendant du lieu et de la période de la cueillette

Guetter les ventes flash pendant que vous faites vos courses en magasin

Il n'est pas rare d'entendre, au hasard de ses courses, un animateur invitant, à se rendre à tel ou tel rayon du supermarché pour bénéficier d'une réduction sur un aliment. Si ce dernier fait partie des produits que vous achetez habituellement, pourquoi vous priver ? Ces opérations commerciales se produisent souvent pour l'anniversaire du magasin ou à des périodes clés de l'année comme la rentrée scolaire, les fêtes de fin d'année ou les la période estivale. Elles existent aussi sur Internet à jour régulier ou exceptionnel.

Notre verdict

 Economies incertaines

 Le plus : proposé par tous les supermarchés

 Le moins : on ne sait pas à l'avance le produit vendu en vente flash

Acheter moins cher son automobile grâce à Internet

Le marché de l'automobile, neuve comme d'occasion, n'a pas échappé à la vague Internet. Outre la possibilité de commander en ligne auprès des constructeurs, il existe des sites de vente multimarques pour un prix moindre que chez un concessionnaire. Normal, ils ont moins de frais de structure. Et c'est le cyberconsommateur qui y gagne. Parmi ces sites, il y a AramisAuto, Auto-IES ou encore Autoselection.

Notre verdict

 Bonne piste pour faire des économies

 Le plus : accès plus rapide aux offres de déstockage

 Le moins : pas d'essai de la voiture pour se décider

Profiter de produits en les testant

Produits de beauté, produits ménagers voire alimentaires... Vous pouvez profiter de certains produits gratuitement par l'intermédiaire de marques qui vous proposent de tester leurs nouveautés. Attention, vous ne devez pas vous contenter de profiter du produit puisque vous devez également donner vos impressions dans un second temps à un représentant de la marque.

Notre verdict

 Economies assez illusoires

 Le plus : une rémunération possible allant d'une dizaine d'euros à plus de 100 euros

 Le moins : échantillons de produits dont vous n'avez pas forcément besoin

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Budget serré : les bons plans et conseils pour affronter la crise

Les Français ont le sentiment que leur budget est toujours plus serré, selon le dernier baromètre Sofinscope. En attendant la crise passe enfin, metronews vous donne quelques bons plans et conseils pour dépenser moins.

Il vous faudrait en moyenne 578 euros de plus pour vivre correctement. C'est ce qui ressort du dernier Sofinscope – sondage Opinionway-Sofinco réalisé en octobre 2014. Les Français interrogés sur leur perception du coût de la vie se sentent très à l'étroit dans leurs finances. Pour boucler leurs fins de mois, un tiers rogne sur les sorties, un tiers sur l'habillement et un sur six se serre même littéralement la ceinture. Voici une sélection de conseils pour affronter la crise.

► Pour remplir le frigo

⇒ Des courses moins chères avec le Drive
Le Drive, qui consiste à commander en ligne et à aller chercher son panier au en voiture, permet d'économiser 15% sur les courses alimentaires, selon TopDrive, un site qui compare les prix des enseignes qui proposent ce système. Près de 7 millions de ménages utilisent déjà l'un des 3000 Drive proposés par Leclerc, Auchan, ChronoDrive, Système U, Carrefour, Intermarché, etc.

⇒ Un coup de pouce aux Restos du cœur
N'hésitez pas non plus à pousser la porte de l'un des 2000 centres des Restos du cœur qui ouvriront à partir du 24 novembre. Plus d'un million de ménages se sont inscrit l'an dernier. Si vous remplissez les critères, allez-y. C'est fait pour. Sur le site de l'association, une carte interactive permet de trouver un établissement près de chez soi.

⇒ Se fournir dans une épicerie solidaire
Toute l'année et partout en France, 600 épiceries solidaires mettent à disposition des produits en libre-service à un prix réduit. Celles du réseau de l'A.N.D.E.S s'engagent à vendre entre 10% et 30% du prix usuel. Vous pouvez y accéder si vous avez rencontré un accident de la vie. Passez alors par les services sociaux de votre mairie ou de votre conseil régional.

► Pour remplir le dressing

⇒ Des petites annonces de dons
"Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se recycle". Faites vôtre cette devise revisitée du site Donnons.org qui recense, dans toutes les régions, des petites annonces d'affaires non pas à vendre mais à donner. Vous pouvez y trouver des vêtements pour toute la famille. 

⇒ Les vide-dressings sur internet
Toujours dans l'esprit récup', des sites de dépôt-vente proposent des articles (souvent de luxe mais pas que) de seconde main. Si vous êtes d'humeur à chiner,Videdressing, Vestiairecollective et Nettoyage de Printemps, entre autres, feront votre bonheur.

⇒ Les enseignes cassent les prix en ligne
Si vous tenez au neuf, le e-commerce sera votre planche de salut. Asos, un site britannique branché pour ceux qui ne connaîtraient pas encore, propose des prix alléchants sur sa propre collection et multiplie les soldes toutes l'année. Par exemple, ce mercredi, il proposait un pull torsadé à 17 euros au lieu de 26, un pantalon chino à 19 euros au lieu de 31 ou des talons hauts à 31 euros au lieu de 57. H&M propose pour sa part son article de la semaine à moitié prix et 25% sur l'article de votre choixjusqu'à mercredi 22 octobre (et c'est cumulable !). La Redoute, enfin, concentre tous ses articles en promotion dans sa rubrique Les aubaines.

► Pour s'aérer l'esprit

⇒ Les bons plans des kiosques jeunes pour sortir à Paris
Vous avez moins de 30 ans et vous voulez profiter à moindres frais de la vie nocturne dans la capitale ? Rendez-vous dans l'un des trois kiosques jeunes (dans le Marais, au Champs-de-Mars, à la Goutte-d'Or) pour retirer des billets gratuits ou à tarif réduit pour des concerts, théâtre, humour, manifestations sportives. Pas besoin de s'inscrire au préalable. Pour chaque bon plan choisi, on vous délivrera une contremarque à présenter le soir de l'événement.

⇒ Voyagez depuis votre canapé
Louvre, musée Rodin, Cité de l'architecture... les musées nationaux sont gratuits le 1er dimanche du mois. Attendez-vous à une foule en conséquence. Si vous ne voulez pas vous y frotter, l'Institut culturel Google vous permet de visiter depuis chez vous et gratuitement les œuvres d'art des plus grands musées du monde, notamment d'Espagne, du Japon ou des Etats-Unis.

⇒ Les musées nationaux gratuitement et à volonté avant 26 ans
Si vous avez entre 18 et 25 ans, vous pouvez entrer gratuitement dans les musées et monuments nationaux, c'est-à-dire les établissements qui dépendant directement de l'Etat. Il y a en a une centaine en France, dont la sainte-Chapelle à Paris, le Palais Jacques-Cœur-de-Bourges ou l'Abbaye du Mont-Saint-Michel. Pour en profiter, il suffit de résider dans l'un des 27 pays de l'UE et de présenter une pièce d'identité. 

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Est-ce vraiment moins cher de réserver vos vacances sur internet ?

- Fairbooking : http://www.fairbooking.com/

- Hôtel La Pérouse : http://www.hotel-laperouse.fr/

- L'UFC Que Choisir : http://www.quechoisir.org/

Faites du sport... gratuitement !

- Ateliers Lolë - 01 42 78 18 24 : http://www.lolewomen.com

- Le bar restaurant le Wanderlust

- Mairie de Lyon et sa direction des sports

- Samir Labidi et l'association Sport Fitness - 215, rue Paul Bert- 69000 LYON- 06 18 01 05 93

- Les Docks – Cité de la Mode et du Design © JAKOB + MACFARLANE Tous droits réservés

- Martin Gaffuri et le site : http://www.goodperoplerun.com

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Comment se défendre sans se ruiner ? 

- Bus du barreau de Paris : http://avocatparis.org/particulier/votre-avocat-2/deontologie-de-lavocat/2-non-categorise/324-bus-de-la-solidarite.html

- La Commission de régulation de l'exercice du droit (CRED) : http://www.garantieavocat.org/index.php

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Covoiturages, location... des solutions alternatives prisées en cas de pollution et de circulation alternée

Les sites en ligne de covoiturage et de location de voitures ont enregistré lundi des pics d'activité pour la même raison. E-loue, qui se présente comme la première centrale de réservation entre particuliers, constatait dès dimanche 30 fois plus de demandes pour des locations de voitures en Ile-de-France -- l'important étant pour ces véhicules d'avoir une plaque d'immatriculation impaire, seule autorisée à circuler lundi, jour impair.

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Tendance : peut-on vraiment faire de bonnes affaires dans les magasins éphémères ? 

- Merci à Ronnie Fieg, Boutique Kith : http://kithnyc.com/sebago-rf-designer-shoes.htm 

- Merci à Thierry Bisseliches, My Pop Up Store, créateur de magasins éphémères. 01 84 17 87 50 : http://www.mypopupstore.fr/

- Pour trouver un magasin éphémère Chronostock, ventes évènementielles, destockage de grandes marques : http://www.chronostock.fr/Accueil/

- En cas de litiges : Association de consommateurs : Ufc Que Choisir : http://www.quechoisir.org/

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Électroménager, ne jetez plus, réparez !

- L'entreprise SYELOM et la société SITA ainsi que leurs équipes de Meudon-la Forêt

- La société DAN SERVICE : http://www.dan-services.fr/

- L'équipe du site internet SOSAV : http://www.sosav.fr/

- L'équipe du site internet SPAREKA : http://www.spareka.fr/

Le bon plan des numéros de téléphone non surtaxés !  Marre des numéros surtaxés : voir le site  http://www.nonsurtaxe.com/

Trouvez les correspondances entre un numéro de téléphone dit surtaxé commençant par 0899, 0892 etc... et son numéro dit "géocodé" qui commence par 01, 02, 03, 04, 05 ... 99% des numéros de téléphone dans ce site seront gratuits depuis une freebox, livebox ou autre. Les autres peuvent être des numéros verts, gratuits depuis un poste fixe ou bien des numéros de portable. Dans tous les cas ceux ci sont gratuits, ou décomptés du forfait, mais en tout cas joignables de l'étranger.

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Retrouvez des solutions pour louer , réparer entre particuliers sur le site :

http://aumasculin-societe.e-monsite.com/pages/jobbing-services.html

Exemple le site : https://www.e-loue.com/

Comment ça marche ?

Pourquoi passer par e-loue ?

• Sécurité"
  Paiement garanti par la Société Générale
  Blocage de la caution pendant la location
  Contrat de location pré-rempli
• Tarif
  Pas de frais d'inscription
  Mise en location GRATUITE
  Frais de 20% sur la location (seulement si vous louez)

• Fléxibilité
  Possibilité de refuser une location
  Gestion de votre calendrier de disponibilités
  Communiquez avec les locataires par messagerie
• Forte visibilité
  Annonce visible sur les moteurs de recherche.
  Parutions dans la presse
  Annonce sera visible sur les réseaux sociaux

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Comment bien vivre sans dépenser un centime !

- Donnons.org : http://www.donnons.org

- Recupe.net : http://www.recupe.net

- Agnès et à Mélodie, les organisatrices de la troc party : http://www.trocparty.com

- Mireille Gigante et Iman. Le magasin pour rien, rue Lefebre Mulhouse
 
-La Maison de la Citoyenneté Mondiale de Mulhouse
 
-François Rouillay - Incroyables Comestibles France : http://www.incredible-edible.com
 
-Isabelle, Swann, Céline et Maud. Gratiféra Charente : http://www.gratiféra-charente.fr

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Livre "économiser 100€ par jour" aux éditions de l'opportun : http://www.editionsopportun.com/produit/195/9782360752935/Economisez%20100%20par%20jour

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